Bibliothèque de la FMPO
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'CROHN'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Interroger des sources externes
PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DU CROHN ANO-PÉRINÉAL À PROPOS DE 12 CAS / ABOUBAKR MABROUKI
Titre : PRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DU CROHN ANO-PÉRINÉAL À PROPOS DE 12 CAS Titre original : التكفل الجراحي لكرون الشرجي و المجاني Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : ABOUBAKR MABROUKI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 85 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 238/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : CROHN DIAGNOSTIC ANATOMOPATHOLOGIE TRAITEMENT PRONOSTIC Résumé : La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin, de cause inconnue. Les manifestations ano-périnéales (MAP) peuvent la révéler.
Objectifs : Le but de notre travail est de rapporter notre expérience dans le traitement des MAP et de discuter les difficultés diagnostiques et thérapeutiques que posent ces lesions
Matériels : On a étudié une série de 12 cas de lésions ano-périnéales Crohniennes, tous opérés au sein du département de chirurgie digestive de la faculté de médecine d’Oujda et de l’hopital ELFarabi sur une durée de 5 ans entre le premier janvier 2010 et le 31 décembre 2015 avec un recul moyen de 24 mois.
Résultats : Le Crohn ano-périnéal, dans notre activité, a été noté à un âge moyen de 38 ans avec une prédominance masculine de 91 % des cas. La symptomatologie clinique a été dominée par les écoulements purulents périnéaux. Les lésions les plus fréquentes ont été les fistules ano-périnéales avec un pourcentage de 83 % et les fissures dans 16 % des cas.
Le traitement chirurgical a été une fistulectomie ou une fistulotomie associée, oui ou non, à un drainage en séton dans 10 cas. Une double fissurectomie avec anoplastie muco-cutanée pour les deux autres.
Discussion : La localisation ano-périnéale de la maladie de Crohn est devenue une entité clinique à part entière. Elle est d’autant plus fréquente et grave que la maladie de Crohn est distale. La première démarche est d'effectuer un état des lieux précis en s’aidant de l’endoscopie, de l’examen proctologique sous anesthésie et de l’imagerie médicale moderne [Endosonographie et IRM endorectale].
Conclusion : Le traitement chirurgical est formellement contre-indiqué dans les lésions primaires. Les rétentions aigues et les fistules basses répondent aux principes et procédés proctologiques habituels. La gestion des fistules complexes est médico-chirurgicale tout en préservant l'intégrité sphinctérienne car tout échec conduirait, fatalement, à une chirurgie mutilante de sauvetage allant de la dérivation fécale à l’amputation abdomino-périnéalePRISE EN CHARGE CHIRURGICALE DU CROHN ANO-PÉRINÉAL À PROPOS DE 12 CAS = التكفل الجراحي لكرون الشرجي و المجاني [partition musicale imprimée] / ABOUBAKR MABROUKI, Technicien graphique . - 2016 . - 85 Pages ; A4.
ISSN : 238/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CROHN DIAGNOSTIC ANATOMOPATHOLOGIE TRAITEMENT PRONOSTIC Résumé : La maladie de Crohn est une maladie inflammatoire chronique de l’intestin, de cause inconnue. Les manifestations ano-périnéales (MAP) peuvent la révéler.
Objectifs : Le but de notre travail est de rapporter notre expérience dans le traitement des MAP et de discuter les difficultés diagnostiques et thérapeutiques que posent ces lesions
Matériels : On a étudié une série de 12 cas de lésions ano-périnéales Crohniennes, tous opérés au sein du département de chirurgie digestive de la faculté de médecine d’Oujda et de l’hopital ELFarabi sur une durée de 5 ans entre le premier janvier 2010 et le 31 décembre 2015 avec un recul moyen de 24 mois.
Résultats : Le Crohn ano-périnéal, dans notre activité, a été noté à un âge moyen de 38 ans avec une prédominance masculine de 91 % des cas. La symptomatologie clinique a été dominée par les écoulements purulents périnéaux. Les lésions les plus fréquentes ont été les fistules ano-périnéales avec un pourcentage de 83 % et les fissures dans 16 % des cas.
Le traitement chirurgical a été une fistulectomie ou une fistulotomie associée, oui ou non, à un drainage en séton dans 10 cas. Une double fissurectomie avec anoplastie muco-cutanée pour les deux autres.
Discussion : La localisation ano-périnéale de la maladie de Crohn est devenue une entité clinique à part entière. Elle est d’autant plus fréquente et grave que la maladie de Crohn est distale. La première démarche est d'effectuer un état des lieux précis en s’aidant de l’endoscopie, de l’examen proctologique sous anesthésie et de l’imagerie médicale moderne [Endosonographie et IRM endorectale].
Conclusion : Le traitement chirurgical est formellement contre-indiqué dans les lésions primaires. Les rétentions aigues et les fistules basses répondent aux principes et procédés proctologiques habituels. La gestion des fistules complexes est médico-chirurgicale tout en préservant l'intégrité sphinctérienne car tout échec conduirait, fatalement, à une chirurgie mutilante de sauvetage allant de la dérivation fécale à l’amputation abdomino-périnéaleExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 238/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 238/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible PRISE EN CHARGE DIAGNOSTIQUE ET THERAPEUTIQUE DES COLITES AIGUES GRAVES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN (A PROPOS DE 33 CAS) / SAIDA ATIK
Titre : PRISE EN CHARGE DIAGNOSTIQUE ET THERAPEUTIQUE DES COLITES AIGUES GRAVES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN (A PROPOS DE 33 CAS) Titre original : مراحم جشخيص وعلاج انحهاب انقىنىن انحاد وانخطير في إطار أمراض الانحهاب انمزمه نلأمعاء (حىل 33 حانة) Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : SAIDA ATIK, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 116 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 038/15 Mots-clés : COLITE AIGUË GRAVE RCH CROHN CORTICOTHÉRAPIE IMMUNOSUPPRESSEURS COLECTOMIE Résumé : Introduction : La colite aiguë grave est une urgence médico-chirurgicale, compliquant principalement la RCH et plus rarement la maladie de Crohn ou la colite infectieuse. L’objectif de notre présent travail est d’analyser les différentes caractéristiques (épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives) des CAG, de les comparer à la littérature afin d’en tirer des conclusions pour améliorer leur prise en charge au sein de notre établissement. Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective analytique étalée sur 6 ans, portant sur 33 cas de colites aiguës graves colligés au sein des services d’hépato-gastro-entérologie au CHR Al Farabi et au CHU Mohammed VI d’Oujda. Résultats : La colite aiguë grave représentait 20% des cas de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. L’âge moyen de nos patients était de 38,36 ans (18-67 ans), avec un sexe ratio H/F de 1,06, un pourcentage de 56,25% de nos patients était déjà connus porteur de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. La symptomatologie clinique était dominée par les émissions glairo-sanglantes, suivies de douleurs et de sensibilité abdominales. L’endoscopie a été réalisée chez tous les malades et a permis de mettre en évidence des signes endoscopiques de gravité chez 19 patients (57,6%). Nous nous sommes basés à l’admission sur le score de Truelove et Witts modifié pour définir la colite aiguë grave et apprécier sa gravité. La corticothérapie intraveineuse était le traitement de première ligne.
Le traitement de 2ème ligne reposait sur la colectomie subtotale chez 11 patients, l’Infliximab chez 3 patients et l’Adalimumab chez 2 patients. La chirurgie a été indiquée en première ligne dans un cas de perforation colique, et en 3ème ligne après échec de l’Adalimumab dans un autre cas. La rémission a été obtenue dans 96,96% des cas. Alors que le taux de mortalité était de 3,03%. Passé l’épisode aigu, l’Azathioprine a été prescrite comme traitement d’entretien chez 11 patients, le Méthotrexate chez 3 patients, la 6-Mercaptopurine chez 2 patients, l’Infliximab chez 2 malades et l’Adalimumab chez un seul malade. Conclusion : La CAG est une complication grave potentiellement mortelle, et les seuls garants d’une bonne évolution sont un diagnostic rapide et une prise en charge précoce et multidisciplinaire. Et si la corticothérapie et la colectomie précoce avaient amélioré son pronostic, une relève semble actuellement largement assurée par les anti-TNF et d’autres nouvelles molécules.PRISE EN CHARGE DIAGNOSTIQUE ET THERAPEUTIQUE DES COLITES AIGUES GRAVES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN (A PROPOS DE 33 CAS) = مراحم جشخيص وعلاج انحهاب انقىنىن انحاد وانخطير في إطار أمراض الانحهاب انمزمه نلأمعاء (حىل 33 حانة) [partition musicale imprimée] / SAIDA ATIK, Auteur . - 2015 . - 116 Pages ; A4.
ISSN : 038/15
Mots-clés : COLITE AIGUË GRAVE RCH CROHN CORTICOTHÉRAPIE IMMUNOSUPPRESSEURS COLECTOMIE Résumé : Introduction : La colite aiguë grave est une urgence médico-chirurgicale, compliquant principalement la RCH et plus rarement la maladie de Crohn ou la colite infectieuse. L’objectif de notre présent travail est d’analyser les différentes caractéristiques (épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives) des CAG, de les comparer à la littérature afin d’en tirer des conclusions pour améliorer leur prise en charge au sein de notre établissement. Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective analytique étalée sur 6 ans, portant sur 33 cas de colites aiguës graves colligés au sein des services d’hépato-gastro-entérologie au CHR Al Farabi et au CHU Mohammed VI d’Oujda. Résultats : La colite aiguë grave représentait 20% des cas de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. L’âge moyen de nos patients était de 38,36 ans (18-67 ans), avec un sexe ratio H/F de 1,06, un pourcentage de 56,25% de nos patients était déjà connus porteur de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. La symptomatologie clinique était dominée par les émissions glairo-sanglantes, suivies de douleurs et de sensibilité abdominales. L’endoscopie a été réalisée chez tous les malades et a permis de mettre en évidence des signes endoscopiques de gravité chez 19 patients (57,6%). Nous nous sommes basés à l’admission sur le score de Truelove et Witts modifié pour définir la colite aiguë grave et apprécier sa gravité. La corticothérapie intraveineuse était le traitement de première ligne.
Le traitement de 2ème ligne reposait sur la colectomie subtotale chez 11 patients, l’Infliximab chez 3 patients et l’Adalimumab chez 2 patients. La chirurgie a été indiquée en première ligne dans un cas de perforation colique, et en 3ème ligne après échec de l’Adalimumab dans un autre cas. La rémission a été obtenue dans 96,96% des cas. Alors que le taux de mortalité était de 3,03%. Passé l’épisode aigu, l’Azathioprine a été prescrite comme traitement d’entretien chez 11 patients, le Méthotrexate chez 3 patients, la 6-Mercaptopurine chez 2 patients, l’Infliximab chez 2 malades et l’Adalimumab chez un seul malade. Conclusion : La CAG est une complication grave potentiellement mortelle, et les seuls garants d’une bonne évolution sont un diagnostic rapide et une prise en charge précoce et multidisciplinaire. Et si la corticothérapie et la colectomie précoce avaient amélioré son pronostic, une relève semble actuellement largement assurée par les anti-TNF et d’autres nouvelles molécules.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 038/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 038/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible