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LA FIBROSE RETROPERITONEALE (A PROPOS DE SIX CAS ET REVUE DE LA LITTÉRATURE) / HANANE HARROU
Titre : LA FIBROSE RETROPERITONEALE (A PROPOS DE SIX CAS ET REVUE DE LA LITTÉRATURE) Titre original : التليف خلف الصفاق Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : HANANE HARROU, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 203 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 188/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : FIBROSE RÉTROPÉRITONÉALE INSUFFISANCE RÉNALE TDM-SONDE JJ CORTICOTHÉRAPIE Résumé : La fibrose rétropéritonéale (FRP) est une maladie rare. Elle se caractérise par l’apparition progressive dans l’espace rétropéritonéale d’une masse fibreuse qui enserre l’aorte, la veine cave inférieure et les voies urinaires responsable d’une altération progressive de la fonction rénale. Le mode habituel de présentation de cette maladie comporte l’association de douleurs lombaires, d’une insuffisance rénale, et d’un syndrome inflammatoire biologique.
Notre objectif est de montrer les différents aspects cliniques, paracliniques , thérapeutiques et évolutifs de cette maladie rare et les discuter avec une revue de la littérature.
C’est une étude rétrospective sur six observations de FRP colligés au service d’urologie au CHU Mohammed VI d’Oujda durant une période de 4 ans (1er Janvier 2011 – 1er Janvier 2015)
Il s’agissait de quatre hommes et deux femmes. L’âge moyen au moment du diagnostic était de 40,31 ans avec des extrêmes allant de 25 à 61 ans. La symptomatologie clinique était très variable, dominée par la douleur lombaire. La Moitié des patients (50%) inclus dans notre étude présentaient l’amaigrissement au moment du diagnostic. En général il s’agissait d’un amaigrissement qui n’était pas chiffré. Les signes urinaires et les autres signes étaient variables. Les explorations biologiques avaient montré une insuffisance rénale chez 4 malades, et la présence d’un syndrome inflammatoire biologique chez tous les malades. Le diagnostic de la maladie était suspecté dans tous les cas sur les données de l’échographie, et confirmé par la TDM qui objectivait une lésion tissulaire rétropéritonéale engainant les vaisseaux et les voies urinaires. La biopsie tissulaire avait été réalisée chez deux malades ayant des signes radiologiques suspectant une origine néoplasique, mettant en évidence une fibrose dense du tissu conjonctif sans aucun signe de malignité. Dans notre série, la FRP était idiopathique dans tous les cas (un patient est perdu de vue). Tous nos patients avaient bénéficié d’un drainage urinaire par sonde double J. Cinq malades avaient reçu une corticothérapie associée. Une amélioration clinique et biologique, avec disparition de la douleur et amélioration de l’état général a été observée chez 60% des cas ,40% des patients ont évolué vers une insuffisance rénale persistante ,20 % des patients ont la persistance de l’inflammation .
Chez un patient on a l’apparition d’une anéjaculation et d’un urinome suite à une large biopsie par laparotomie
Un patient est perdu de vue. Aucune complication secondaire à la corticothérapie n’a été observée chez les patients au cours du suivi.
Nous avons confirmé la rareté de la fibrose rétropéritonéale, la difficulté de son diagnostic, la fréquence de la douleur, du syndrome inflammatoire et de l’insuffisance rénale. Le drainage urinaire est indispensable dans la plupart des cas et le suivi régulier des malades est nécessaire.LA FIBROSE RETROPERITONEALE (A PROPOS DE SIX CAS ET REVUE DE LA LITTÉRATURE) = التليف خلف الصفاق [partition musicale imprimée] / HANANE HARROU, Technicien graphique . - 2016 . - 203 Pages ; A4.
ISSN : 188/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : FIBROSE RÉTROPÉRITONÉALE INSUFFISANCE RÉNALE TDM-SONDE JJ CORTICOTHÉRAPIE Résumé : La fibrose rétropéritonéale (FRP) est une maladie rare. Elle se caractérise par l’apparition progressive dans l’espace rétropéritonéale d’une masse fibreuse qui enserre l’aorte, la veine cave inférieure et les voies urinaires responsable d’une altération progressive de la fonction rénale. Le mode habituel de présentation de cette maladie comporte l’association de douleurs lombaires, d’une insuffisance rénale, et d’un syndrome inflammatoire biologique.
Notre objectif est de montrer les différents aspects cliniques, paracliniques , thérapeutiques et évolutifs de cette maladie rare et les discuter avec une revue de la littérature.
C’est une étude rétrospective sur six observations de FRP colligés au service d’urologie au CHU Mohammed VI d’Oujda durant une période de 4 ans (1er Janvier 2011 – 1er Janvier 2015)
Il s’agissait de quatre hommes et deux femmes. L’âge moyen au moment du diagnostic était de 40,31 ans avec des extrêmes allant de 25 à 61 ans. La symptomatologie clinique était très variable, dominée par la douleur lombaire. La Moitié des patients (50%) inclus dans notre étude présentaient l’amaigrissement au moment du diagnostic. En général il s’agissait d’un amaigrissement qui n’était pas chiffré. Les signes urinaires et les autres signes étaient variables. Les explorations biologiques avaient montré une insuffisance rénale chez 4 malades, et la présence d’un syndrome inflammatoire biologique chez tous les malades. Le diagnostic de la maladie était suspecté dans tous les cas sur les données de l’échographie, et confirmé par la TDM qui objectivait une lésion tissulaire rétropéritonéale engainant les vaisseaux et les voies urinaires. La biopsie tissulaire avait été réalisée chez deux malades ayant des signes radiologiques suspectant une origine néoplasique, mettant en évidence une fibrose dense du tissu conjonctif sans aucun signe de malignité. Dans notre série, la FRP était idiopathique dans tous les cas (un patient est perdu de vue). Tous nos patients avaient bénéficié d’un drainage urinaire par sonde double J. Cinq malades avaient reçu une corticothérapie associée. Une amélioration clinique et biologique, avec disparition de la douleur et amélioration de l’état général a été observée chez 60% des cas ,40% des patients ont évolué vers une insuffisance rénale persistante ,20 % des patients ont la persistance de l’inflammation .
Chez un patient on a l’apparition d’une anéjaculation et d’un urinome suite à une large biopsie par laparotomie
Un patient est perdu de vue. Aucune complication secondaire à la corticothérapie n’a été observée chez les patients au cours du suivi.
Nous avons confirmé la rareté de la fibrose rétropéritonéale, la difficulté de son diagnostic, la fréquence de la douleur, du syndrome inflammatoire et de l’insuffisance rénale. Le drainage urinaire est indispensable dans la plupart des cas et le suivi régulier des malades est nécessaire.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 188/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 188/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible PRISE EN CHARGE DIAGNOSTIQUE ET THERAPEUTIQUE DES COLITES AIGUES GRAVES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN (A PROPOS DE 33 CAS) / SAIDA ATIK
Titre : PRISE EN CHARGE DIAGNOSTIQUE ET THERAPEUTIQUE DES COLITES AIGUES GRAVES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN (A PROPOS DE 33 CAS) Titre original : مراحم جشخيص وعلاج انحهاب انقىنىن انحاد وانخطير في إطار أمراض الانحهاب انمزمه نلأمعاء (حىل 33 حانة) Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : SAIDA ATIK, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 116 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 038/15 Mots-clés : COLITE AIGUË GRAVE RCH CROHN CORTICOTHÉRAPIE IMMUNOSUPPRESSEURS COLECTOMIE Résumé : Introduction : La colite aiguë grave est une urgence médico-chirurgicale, compliquant principalement la RCH et plus rarement la maladie de Crohn ou la colite infectieuse. L’objectif de notre présent travail est d’analyser les différentes caractéristiques (épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives) des CAG, de les comparer à la littérature afin d’en tirer des conclusions pour améliorer leur prise en charge au sein de notre établissement. Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective analytique étalée sur 6 ans, portant sur 33 cas de colites aiguës graves colligés au sein des services d’hépato-gastro-entérologie au CHR Al Farabi et au CHU Mohammed VI d’Oujda. Résultats : La colite aiguë grave représentait 20% des cas de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. L’âge moyen de nos patients était de 38,36 ans (18-67 ans), avec un sexe ratio H/F de 1,06, un pourcentage de 56,25% de nos patients était déjà connus porteur de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. La symptomatologie clinique était dominée par les émissions glairo-sanglantes, suivies de douleurs et de sensibilité abdominales. L’endoscopie a été réalisée chez tous les malades et a permis de mettre en évidence des signes endoscopiques de gravité chez 19 patients (57,6%). Nous nous sommes basés à l’admission sur le score de Truelove et Witts modifié pour définir la colite aiguë grave et apprécier sa gravité. La corticothérapie intraveineuse était le traitement de première ligne.
Le traitement de 2ème ligne reposait sur la colectomie subtotale chez 11 patients, l’Infliximab chez 3 patients et l’Adalimumab chez 2 patients. La chirurgie a été indiquée en première ligne dans un cas de perforation colique, et en 3ème ligne après échec de l’Adalimumab dans un autre cas. La rémission a été obtenue dans 96,96% des cas. Alors que le taux de mortalité était de 3,03%. Passé l’épisode aigu, l’Azathioprine a été prescrite comme traitement d’entretien chez 11 patients, le Méthotrexate chez 3 patients, la 6-Mercaptopurine chez 2 patients, l’Infliximab chez 2 malades et l’Adalimumab chez un seul malade. Conclusion : La CAG est une complication grave potentiellement mortelle, et les seuls garants d’une bonne évolution sont un diagnostic rapide et une prise en charge précoce et multidisciplinaire. Et si la corticothérapie et la colectomie précoce avaient amélioré son pronostic, une relève semble actuellement largement assurée par les anti-TNF et d’autres nouvelles molécules.PRISE EN CHARGE DIAGNOSTIQUE ET THERAPEUTIQUE DES COLITES AIGUES GRAVES AU COURS DES MALADIES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES DE L’INTESTIN (A PROPOS DE 33 CAS) = مراحم جشخيص وعلاج انحهاب انقىنىن انحاد وانخطير في إطار أمراض الانحهاب انمزمه نلأمعاء (حىل 33 حانة) [partition musicale imprimée] / SAIDA ATIK, Auteur . - 2015 . - 116 Pages ; A4.
ISSN : 038/15
Mots-clés : COLITE AIGUË GRAVE RCH CROHN CORTICOTHÉRAPIE IMMUNOSUPPRESSEURS COLECTOMIE Résumé : Introduction : La colite aiguë grave est une urgence médico-chirurgicale, compliquant principalement la RCH et plus rarement la maladie de Crohn ou la colite infectieuse. L’objectif de notre présent travail est d’analyser les différentes caractéristiques (épidémiologiques, cliniques, paracliniques, thérapeutiques et évolutives) des CAG, de les comparer à la littérature afin d’en tirer des conclusions pour améliorer leur prise en charge au sein de notre établissement. Matériels et méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective analytique étalée sur 6 ans, portant sur 33 cas de colites aiguës graves colligés au sein des services d’hépato-gastro-entérologie au CHR Al Farabi et au CHU Mohammed VI d’Oujda. Résultats : La colite aiguë grave représentait 20% des cas de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. L’âge moyen de nos patients était de 38,36 ans (18-67 ans), avec un sexe ratio H/F de 1,06, un pourcentage de 56,25% de nos patients était déjà connus porteur de maladies inflammatoires chroniques de l’intestin. La symptomatologie clinique était dominée par les émissions glairo-sanglantes, suivies de douleurs et de sensibilité abdominales. L’endoscopie a été réalisée chez tous les malades et a permis de mettre en évidence des signes endoscopiques de gravité chez 19 patients (57,6%). Nous nous sommes basés à l’admission sur le score de Truelove et Witts modifié pour définir la colite aiguë grave et apprécier sa gravité. La corticothérapie intraveineuse était le traitement de première ligne.
Le traitement de 2ème ligne reposait sur la colectomie subtotale chez 11 patients, l’Infliximab chez 3 patients et l’Adalimumab chez 2 patients. La chirurgie a été indiquée en première ligne dans un cas de perforation colique, et en 3ème ligne après échec de l’Adalimumab dans un autre cas. La rémission a été obtenue dans 96,96% des cas. Alors que le taux de mortalité était de 3,03%. Passé l’épisode aigu, l’Azathioprine a été prescrite comme traitement d’entretien chez 11 patients, le Méthotrexate chez 3 patients, la 6-Mercaptopurine chez 2 patients, l’Infliximab chez 2 malades et l’Adalimumab chez un seul malade. Conclusion : La CAG est une complication grave potentiellement mortelle, et les seuls garants d’une bonne évolution sont un diagnostic rapide et une prise en charge précoce et multidisciplinaire. Et si la corticothérapie et la colectomie précoce avaient amélioré son pronostic, une relève semble actuellement largement assurée par les anti-TNF et d’autres nouvelles molécules.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 038/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 038/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES GLOMÉRULONÉPHRITES PRIMITIVES AU NIVEAU DU CHU MOHAMMED VI -OUJDA- / DRISS ZOURGANE
Titre : LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES GLOMÉRULONÉPHRITES PRIMITIVES AU NIVEAU DU CHU MOHAMMED VI -OUJDA- Titre original : الإعتلالات الكلوية الحبيبية : التخصيص الوبائي ,العلاجي و التطوري في المركز الاستشفائي الجامعي محمد السادس بوجدة Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : DRISS ZOURGANE, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 127 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 255/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : EPIDÉMIOLOGIE GLOMÉRULONÉPHRITE CORTICOTHÉRAPIE IMMUNOSUPPRESSEURS BIOPSIE RÉNALE INSUFFISANCE RÉNALE Résumé : L’approche épidémiologique des maladies glomérulaires demeure encore insuffisamment développée dans notre pays. Le but de notre étude est de connaître la fréquence des néphropathies glomérulaires primitives dans notre contexte; décrire leurs différentes caractéristiques démographiques, clinico-biologiques, ainsi que leur profil étiologique et évolutif. Nous avons mené une étude rétrospective, réalisée au service de néphrologie du Centre Hospitalier Universitaire Mohammed VI ŔOujda-. Nous avons colligé 51 patients dont 28 hommes (54 %). L’âge moyen au moment du diagnostic était de 36 ± 14,51 ans. Le tableau clinique était dominé par le syndrome oedémateux (58,8 %), l’hypertension artérielle (13,7 %) et l’hématurie (11,8 %). la glomérulopathie hyalinose segmentaire et focale et la glomérulonéphrite extramembraneux ont représenté les types histologiques les plus fréquents avec respectivement 47,1 % et 23,5 % des cas. Nos patients ont bénéficié d’un traitement symptomatique dans 84 % des cas, l’épuration extra rénale a était indiquée chez 4% des cas. Dans les glomérulonéphrites primitives l’utilisation d’une corticothérapie seule a été proposée dans 54,9 % des cas et une corticothérapie associée aux immunosuppresseurs dans 15,7% des cas. LE PROFIL ÉPIDÉMIOLOGIQUE DES GLOMÉRULONÉPHRITES PRIMITIVES AU NIVEAU DU CHU MOHAMMED VI -OUJDA- = الإعتلالات الكلوية الحبيبية : التخصيص الوبائي ,العلاجي و التطوري في المركز الاستشفائي الجامعي محمد السادس بوجدة [partition musicale imprimée] / DRISS ZOURGANE, Technicien graphique . - 2016 . - 127 Pages ; A4.
ISSN : 255/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : EPIDÉMIOLOGIE GLOMÉRULONÉPHRITE CORTICOTHÉRAPIE IMMUNOSUPPRESSEURS BIOPSIE RÉNALE INSUFFISANCE RÉNALE Résumé : L’approche épidémiologique des maladies glomérulaires demeure encore insuffisamment développée dans notre pays. Le but de notre étude est de connaître la fréquence des néphropathies glomérulaires primitives dans notre contexte; décrire leurs différentes caractéristiques démographiques, clinico-biologiques, ainsi que leur profil étiologique et évolutif. Nous avons mené une étude rétrospective, réalisée au service de néphrologie du Centre Hospitalier Universitaire Mohammed VI ŔOujda-. Nous avons colligé 51 patients dont 28 hommes (54 %). L’âge moyen au moment du diagnostic était de 36 ± 14,51 ans. Le tableau clinique était dominé par le syndrome oedémateux (58,8 %), l’hypertension artérielle (13,7 %) et l’hématurie (11,8 %). la glomérulopathie hyalinose segmentaire et focale et la glomérulonéphrite extramembraneux ont représenté les types histologiques les plus fréquents avec respectivement 47,1 % et 23,5 % des cas. Nos patients ont bénéficié d’un traitement symptomatique dans 84 % des cas, l’épuration extra rénale a était indiquée chez 4% des cas. Dans les glomérulonéphrites primitives l’utilisation d’une corticothérapie seule a été proposée dans 54,9 % des cas et une corticothérapie associée aux immunosuppresseurs dans 15,7% des cas. Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 255/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 255/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible PURPURA THROMBOPÉNIQUE AUTO-IMMUN - À PROPOS DE 14 CAS - / NAJOUA RBIAI
Titre : PURPURA THROMBOPÉNIQUE AUTO-IMMUN - À PROPOS DE 14 CAS - Titre original : فرفرية قلة الصفائح الغامضة Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : NAJOUA RBIAI, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 138 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 086/15 Mots-clés : PURPURA THROMBOPÉNIE AUTO-IMMUNITÉ CORTICOTHÉRAPIE IMMUNOGLOBULINES SPLÉNECTOMIE. Résumé : Le P.T.I est le trouble hématologique le plus fréquent de l’enfant. C’est aussi la première cause des thrombines et du syndrome hémorragique de l’enfant.
Le taux des plaquettes est très diminué, associé à un taux normal ou augmenté des mégacaryocytes médullaires, en l’absence de pathologie auto –immune sous-jacente. La prise en charge thérapeutique n’est pas codifiée et varie considérablement.
L’objectif de notre travail a été de générer des données sur la prise en charge diagnostique et thérapeutique des P.T.I dans le service de pédiatrie au CHR EL FARABI et CHUMOHAMMED IV à OUJDA.
Ainsi 14 observations ont été colligées en 45 mois. Le sex-ratio a été égal à 1.8 (filles pour garçons). En fonction de la répartition saisonnière, le recrutement a été élevé au cours de l’hiver et le printemps. Aucun cas de P.T.I familial n’a été noté.
Sur le plan clinique, le purpura a été le principal symptôme observé. Le début a été brutal dans 64% des cas et progressif dans 29 % des cas.
Les hémorragies cutanées ont été notées chez tous les patients. Il n’y a eu aucun cas d’hémorragie cérébro-méningée.
Sur le plan biologique, le taux des plaquettes a été inférieur à 10.000/mm3 dans 50 % des cas, inférieur à 20.000/mm3 dans 29 % des cas et inférieur à 50.000/mm3 dans 14 % des cas. 14 % des cas étudiés ont eu une hémoglobine inférieure à 9g /dl. Dans notre série 71 % des cas ont eu un myélogramme.
Sur le plan thérapeutique, 2 patients (14%) ont reçu des transfusions plaquettaires et globulaires. 6 cas ont été mis sous corticothérapie, 4 cas ont été mis sous perfusion d’IG IV et 4 ont reçu des perfusions d’IG IV après échec de la corticothérapie. La splénectomie n’a été pratiquée chez aucun patient.
Sur les 14 P.T.I, il y a eu 50% de formes aigues, 7% de thrombopénie persistante à 4 mois d’évolution, 21% de formes chroniques et 21% de patients ont été perdu de vue avant l’écoulement de 6 mois.PURPURA THROMBOPÉNIQUE AUTO-IMMUN - À PROPOS DE 14 CAS - = فرفرية قلة الصفائح الغامضة [partition musicale imprimée] / NAJOUA RBIAI, Auteur . - 2015 . - 138 Pages ; A4.
ISSN : 086/15
Mots-clés : PURPURA THROMBOPÉNIE AUTO-IMMUNITÉ CORTICOTHÉRAPIE IMMUNOGLOBULINES SPLÉNECTOMIE. Résumé : Le P.T.I est le trouble hématologique le plus fréquent de l’enfant. C’est aussi la première cause des thrombines et du syndrome hémorragique de l’enfant.
Le taux des plaquettes est très diminué, associé à un taux normal ou augmenté des mégacaryocytes médullaires, en l’absence de pathologie auto –immune sous-jacente. La prise en charge thérapeutique n’est pas codifiée et varie considérablement.
L’objectif de notre travail a été de générer des données sur la prise en charge diagnostique et thérapeutique des P.T.I dans le service de pédiatrie au CHR EL FARABI et CHUMOHAMMED IV à OUJDA.
Ainsi 14 observations ont été colligées en 45 mois. Le sex-ratio a été égal à 1.8 (filles pour garçons). En fonction de la répartition saisonnière, le recrutement a été élevé au cours de l’hiver et le printemps. Aucun cas de P.T.I familial n’a été noté.
Sur le plan clinique, le purpura a été le principal symptôme observé. Le début a été brutal dans 64% des cas et progressif dans 29 % des cas.
Les hémorragies cutanées ont été notées chez tous les patients. Il n’y a eu aucun cas d’hémorragie cérébro-méningée.
Sur le plan biologique, le taux des plaquettes a été inférieur à 10.000/mm3 dans 50 % des cas, inférieur à 20.000/mm3 dans 29 % des cas et inférieur à 50.000/mm3 dans 14 % des cas. 14 % des cas étudiés ont eu une hémoglobine inférieure à 9g /dl. Dans notre série 71 % des cas ont eu un myélogramme.
Sur le plan thérapeutique, 2 patients (14%) ont reçu des transfusions plaquettaires et globulaires. 6 cas ont été mis sous corticothérapie, 4 cas ont été mis sous perfusion d’IG IV et 4 ont reçu des perfusions d’IG IV après échec de la corticothérapie. La splénectomie n’a été pratiquée chez aucun patient.
Sur les 14 P.T.I, il y a eu 50% de formes aigues, 7% de thrombopénie persistante à 4 mois d’évolution, 21% de formes chroniques et 21% de patients ont été perdu de vue avant l’écoulement de 6 mois.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 086/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 086/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible