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HERNIE DISCALE CERVICALE / MAHASSINE ROUIFI
Titre : HERNIE DISCALE CERVICALE Titre original : الفتق القرصي العنقي (حول 20 حالة) Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : MAHASSINE ROUIFI, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 93 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 040/15 Mots-clés : HERNIE DISCALE RACHIS CERVICAL NÉVRALGIE CERVICOBRACHIALE IRM DISCETOMIE Résumé : A la lumière de notre étude portant sur 20 cas d’hernie discale cervicale opérés au service de Neurochirurgie du CHU Mohamed VI d’OUJDA entre 2010 et 2014, on retient que :
- L’âge moyen de nos malades est de 43 ans.
- La répartition est équivalente entre les sujets masculin et féminin.
- Le traumatisme rachidien est le seul facteur déclenchant (10% des cas).
- La symptomatologie clinique est le plus souvent progressive (55% des cas).
- La névralgie cervico-brachiale est fréquemment retrouvée dans la symptomatologie clinique (70% des cas), avec une prédominance de l’atteinte du côté gauche dans 64,3% des cas.
- L’IRM cervicale a été réalisée chez tous nos malades permettant de poser le diagnostic positif d’hernie discale cervicale. Cette dernière a été unique dans 55% des cas , les étages C5-C6 et C6-C7 étaient les plus touchés (71% des cas).
- Le traitement chirurgical était de recours devant la persistance des névralgies cervico-brachiales malgré un traitement médical bien conduit ou d’emblée devant la présence de déficit radiculaire et/ou médullaire.
- La voie d’abord antérieure est la seule voie utilisée dans notre série, une discectomie associée à une arthrodèse avec mise en place d’un greffon iliaque était de recours dans 20 % des cas, et avec une mise en place d’une cage intersomatique dans 80% des cas.
- L’évolution a été favorable, avec une amélioration clinique totale dans 85% et partielle dans 15% des cas.HERNIE DISCALE CERVICALE = الفتق القرصي العنقي (حول 20 حالة) [partition musicale imprimée] / MAHASSINE ROUIFI, Auteur . - 2015 . - 93 Pages ; A4.
ISSN : 040/15
Mots-clés : HERNIE DISCALE RACHIS CERVICAL NÉVRALGIE CERVICOBRACHIALE IRM DISCETOMIE Résumé : A la lumière de notre étude portant sur 20 cas d’hernie discale cervicale opérés au service de Neurochirurgie du CHU Mohamed VI d’OUJDA entre 2010 et 2014, on retient que :
- L’âge moyen de nos malades est de 43 ans.
- La répartition est équivalente entre les sujets masculin et féminin.
- Le traumatisme rachidien est le seul facteur déclenchant (10% des cas).
- La symptomatologie clinique est le plus souvent progressive (55% des cas).
- La névralgie cervico-brachiale est fréquemment retrouvée dans la symptomatologie clinique (70% des cas), avec une prédominance de l’atteinte du côté gauche dans 64,3% des cas.
- L’IRM cervicale a été réalisée chez tous nos malades permettant de poser le diagnostic positif d’hernie discale cervicale. Cette dernière a été unique dans 55% des cas , les étages C5-C6 et C6-C7 étaient les plus touchés (71% des cas).
- Le traitement chirurgical était de recours devant la persistance des névralgies cervico-brachiales malgré un traitement médical bien conduit ou d’emblée devant la présence de déficit radiculaire et/ou médullaire.
- La voie d’abord antérieure est la seule voie utilisée dans notre série, une discectomie associée à une arthrodèse avec mise en place d’un greffon iliaque était de recours dans 20 % des cas, et avec une mise en place d’une cage intersomatique dans 80% des cas.
- L’évolution a été favorable, avec une amélioration clinique totale dans 85% et partielle dans 15% des cas.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 040/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 040/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible IMAGERIE DES TUMEURS DE LA FOSSE CÉRÉBRALE POSTÉRIEURE (A PROPOS DE 56 CAS) / MOHAMMED BENABDELHAK
Titre : IMAGERIE DES TUMEURS DE LA FOSSE CÉRÉBRALE POSTÉRIEURE (A PROPOS DE 56 CAS) Titre original : تصوير أورام الحفرة الدماغية الخلفية Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : MOHAMMED BENABDELHAK, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 113 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 209/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUMEUR FOSSE CÉRÉBRALE POSTÉRIEURE IMAGERIE TDM IRM SURVEILLANCE Résumé : Les tumeurs de la fosse cérébrale postérieure sont tout processus expansif prenant naissance à la région sous-tentorielle du crâne. Nous avons, par notre étude rétrospective de 56 cas sur une période de 2 ans s’étalant d’Avril 2014 à Mars 2016, recensé à étudier l’aspect radiologique des différentes tumeurs qui occupent cet espace. Nous avons divisé l’échantillon de nos patients en 3 catégories : le diagnostic radiologique, le suivi radiologique, et le bilan d’extension d’un cancer. La tranche d’âge la plus fréquente était celle des patients âgés de plus de 50 ans représentée par 19 cas (33,9%) suivi de celle des enfants de moins de 15 ans représentée par 15 cas (26,8%). L’âge moyen de nos patients était de 33,4 ans, variant entre des extrêmes entre 18 mois et 70 ans. Nous avons noté une légère prédominance sexuelle féminine dans notre étude avec 30/56 cas (53,6%). La TDM a été réalisée chez 17 cas (30,4%) et L’IRM chez 44 cas (78,6%). Nous avons objectivé sur les images radiologiques, et pour les patients chez qui l’on recherche une tumeur de la FCP (23 cas) : 4 cas de kystes arachnoïdiens, 4 épendymomes, 3 médulloblastomes, 3 neurinomes de l’acoustique, 1 lipome, 1 kyste dermoïde, 1 méningiome, 1 astrocytome pilocytique et 1 cas de gliome infiltrant. Nous avons un résultat non concordant dans 1 cas où nous avons évoqué l’épendymome, et le résultat histologique était en faveur de médulloblastome. Chez les patients suivis en radiologie (22 cas), nous avons reçu : 8 cas de médulloblastome, 2 cas d’hémangioblastome et d’astrocytome pilocytique, et 1 cas pour chacune des autres tumeurs, et dans 3 cas nous n’avons pas de preuve histologique. Deux types de cancers ont été à l’origine des métastases intracrânienne chez 11 de nos patients: le cancer broncho-pulmonaire, et le cancer du sein. L’effet de masse a été objectivé dans 30 cas, l’hydrocéphalie était présente dans 18 cas, l’oedème péri-lésionnel dans 16 cas, et la ptose des amygdales cérébelleuses a été observée dans 7 cas. Tandis que le scanner est l’examen de choix pour l’étude osseuse, l’IRM reste l’examen le plus performant pour la distinction des tumeurs avec ses techniques multiples, ainsi que l’étude des rapports des tumeurs. IMAGERIE DES TUMEURS DE LA FOSSE CÉRÉBRALE POSTÉRIEURE (A PROPOS DE 56 CAS) = تصوير أورام الحفرة الدماغية الخلفية [partition musicale imprimée] / MOHAMMED BENABDELHAK, Technicien graphique . - 2016 . - 113 Pages ; A4.
ISSN : 209/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TUMEUR FOSSE CÉRÉBRALE POSTÉRIEURE IMAGERIE TDM IRM SURVEILLANCE Résumé : Les tumeurs de la fosse cérébrale postérieure sont tout processus expansif prenant naissance à la région sous-tentorielle du crâne. Nous avons, par notre étude rétrospective de 56 cas sur une période de 2 ans s’étalant d’Avril 2014 à Mars 2016, recensé à étudier l’aspect radiologique des différentes tumeurs qui occupent cet espace. Nous avons divisé l’échantillon de nos patients en 3 catégories : le diagnostic radiologique, le suivi radiologique, et le bilan d’extension d’un cancer. La tranche d’âge la plus fréquente était celle des patients âgés de plus de 50 ans représentée par 19 cas (33,9%) suivi de celle des enfants de moins de 15 ans représentée par 15 cas (26,8%). L’âge moyen de nos patients était de 33,4 ans, variant entre des extrêmes entre 18 mois et 70 ans. Nous avons noté une légère prédominance sexuelle féminine dans notre étude avec 30/56 cas (53,6%). La TDM a été réalisée chez 17 cas (30,4%) et L’IRM chez 44 cas (78,6%). Nous avons objectivé sur les images radiologiques, et pour les patients chez qui l’on recherche une tumeur de la FCP (23 cas) : 4 cas de kystes arachnoïdiens, 4 épendymomes, 3 médulloblastomes, 3 neurinomes de l’acoustique, 1 lipome, 1 kyste dermoïde, 1 méningiome, 1 astrocytome pilocytique et 1 cas de gliome infiltrant. Nous avons un résultat non concordant dans 1 cas où nous avons évoqué l’épendymome, et le résultat histologique était en faveur de médulloblastome. Chez les patients suivis en radiologie (22 cas), nous avons reçu : 8 cas de médulloblastome, 2 cas d’hémangioblastome et d’astrocytome pilocytique, et 1 cas pour chacune des autres tumeurs, et dans 3 cas nous n’avons pas de preuve histologique. Deux types de cancers ont été à l’origine des métastases intracrânienne chez 11 de nos patients: le cancer broncho-pulmonaire, et le cancer du sein. L’effet de masse a été objectivé dans 30 cas, l’hydrocéphalie était présente dans 18 cas, l’oedème péri-lésionnel dans 16 cas, et la ptose des amygdales cérébelleuses a été observée dans 7 cas. Tandis que le scanner est l’examen de choix pour l’étude osseuse, l’IRM reste l’examen le plus performant pour la distinction des tumeurs avec ses techniques multiples, ainsi que l’étude des rapports des tumeurs. Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 209/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 209/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible LA LABYRINTHITE MEMBRANEUSE ET OSSIFIANTE / SOUMIA JMILI
Titre : LA LABYRINTHITE MEMBRANEUSE ET OSSIFIANTE Titre original : إلتهاب التيه المعظم Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : SOUMIA JMILI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 122 pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 217/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : OREILLE INTERNE OSSIFICATION LABYRINTHITE IMPLANTATION COCHLÉAIRE IRM Résumé : Les labyrinthites correspondent à un ensemble de processus inflammatoires de l'oreille interne, affectant la totalité ou une partie du labyrinthe (vestibulaire et/ou cochléaire).
La labyrinthite ossifiante correspond à l’ossification pathologique des espaces membraneux du labyrinthe, qui se produit en réponse à un processus de destruction. Les étiologies de cette ossification sont multiples. Elle se manifeste par des signes déficitaires cochléaires et vestibulaires : une hypoacousie, des acouphènes, et surtout des vertiges accompagnés de signes neurovégétatifs : nausées, vomissements, pâleur, tachycardie, sueurs. Les signes peuvent survenir brutalement, progressivement ou de manière fluctuante.
Le tableau est souvent incomplet.
Le bilan radiologique est basé sur le scanner qui est l’examen de première intention pour le diagnostic et le bilan d’extension de cette pathologie. Cependant, l’IRM est le seul examen permettant le diagnostic précoce au stade de fibrose.
La labyrinthite ossifiante relève actuellement de l’implantation cochléaire. Au début, même les ossifications peu étendues étaient considérées comme une contre-indication à l’implantation cochleaire. Actuellement, les ossifications modérées, voire sévères, peuvent être traitées chirurgicalement. Grâce à l’avènement et le développement des nouvelles techniques de la microchirurgie.LA LABYRINTHITE MEMBRANEUSE ET OSSIFIANTE = إلتهاب التيه المعظم [partition musicale imprimée] / SOUMIA JMILI, Technicien graphique . - 2016 . - 122 pages ; A4.
ISSN : 217/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : OREILLE INTERNE OSSIFICATION LABYRINTHITE IMPLANTATION COCHLÉAIRE IRM Résumé : Les labyrinthites correspondent à un ensemble de processus inflammatoires de l'oreille interne, affectant la totalité ou une partie du labyrinthe (vestibulaire et/ou cochléaire).
La labyrinthite ossifiante correspond à l’ossification pathologique des espaces membraneux du labyrinthe, qui se produit en réponse à un processus de destruction. Les étiologies de cette ossification sont multiples. Elle se manifeste par des signes déficitaires cochléaires et vestibulaires : une hypoacousie, des acouphènes, et surtout des vertiges accompagnés de signes neurovégétatifs : nausées, vomissements, pâleur, tachycardie, sueurs. Les signes peuvent survenir brutalement, progressivement ou de manière fluctuante.
Le tableau est souvent incomplet.
Le bilan radiologique est basé sur le scanner qui est l’examen de première intention pour le diagnostic et le bilan d’extension de cette pathologie. Cependant, l’IRM est le seul examen permettant le diagnostic précoce au stade de fibrose.
La labyrinthite ossifiante relève actuellement de l’implantation cochléaire. Au début, même les ossifications peu étendues étaient considérées comme une contre-indication à l’implantation cochleaire. Actuellement, les ossifications modérées, voire sévères, peuvent être traitées chirurgicalement. Grâce à l’avènement et le développement des nouvelles techniques de la microchirurgie.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 217/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 217/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible TRAITEMENT ARTHROSCOPIQUE DES LÉSIONS MÉNISCALES ISOLÉES -À PROPOS 50 CAS- / IMANE EL AMOURI
Titre : TRAITEMENT ARTHROSCOPIQUE DES LÉSIONS MÉNISCALES ISOLÉES -À PROPOS 50 CAS- Titre original : علاج الآفات تاهلالية بالتنظير المفصلي Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : IMANE EL AMOURI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 112 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 162/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : LÉSIONS MÉNISCALES ISOLÉES IRM TRAITEMENT ARTHROSCOPIQUE RÉPARATION MÉNISCALE MÉNISCECTOMIE PARTIELLE. Résumé : L’arthroscopie est une technique peu agressive permettant d’effectuer un certain nombre d’interventions chirurgicales sur le genou qui sont en effet très précises avec un meilleur résultat; ainsi qu’elle permet en particulier d’effectuer un geste chirurgical rapide avec une hospitalisation courte, et des suites post opératoires habituellement très simples ; ce qui permet une reprise rapide des activités de la vie quotidienne.
Elle est parfois utilisée pour une simple exploration diagnostique de cette articulation.
Nos objectifs étaient d’évaluer le profil épidémiologique, clinique et radiologique des lésions méniscales isolées et leur prise en charge, et d’effectuer une comparaison des différents résultats dans la littérature.
Dans le cadre de l’évaluation de l’apport de l’arthroscopie dans les lésions méniscales, nous présentons dans ce travail une étude rétrospective, portant sur 50 patients atteints d’une lésion méniscale isolée traitée sous arthroscopie au service de traumatologie-orthopédie CHU Mohamed VI de Oujda entre janvier 2013 et décembre 2015.
Nous avons constaté qu’il existe une nette prédominance masculine (82%) avec un âge
moyen de 34.9 ans. Les lésions traumatiques sont les plus fréquentes ; essentiellement les accidents sportives (40%).
La symptomatologie d’appel à la lésion méniscale a associé le plus souvent : la douleur (100% des cas), l’IFP (44% des cas), le blocage (46% des cas) et insatiabilité (14% des cas)
L’examen programmé du genou a noté la présence d’un cri méniscal chez 64 % des cas, un Grinding test positif chez 98% des cas et un Mac Murray chez 65% des cas.
Le diagnostic de lésion méniscale a été complété par IRM (100%), en sachant que la radiographie standard a été incontournable dans l’étude de cette articulation.
Elle nous a permis de retrouver 36 lésions du ménisque interne (72%) ,14 lésions du ménisque externe (28%).
L’attitude thérapeutique a consisté en une méniscectomie partielle sous arthroscopie chez 94% des cas contre 6% des patients traités par suture méniscale.
Les résultats fonctionnels ont été jugés selon les critères d’évaluation de MERLE D’AUBIGNE et MAZAS ; ainsi, nous avons obtenus 78 % d’excellents et de bons résultats, 22% de moyens résultats, et aucun mauvais résultat.
D’après notre expérience on a remarqué que la méniscectomie est l’un des meilleurs exemples d’utilisation de l’arthroscopie à des fins thérapeutiques. Elle permet une chirurgie non traumatique et économique des lésions méniscales, avec des suites opératoires très simples, qui autorisent le lever dès le lendemain de l’intervention. La rééducation n’est pas une prescription systématique.TRAITEMENT ARTHROSCOPIQUE DES LÉSIONS MÉNISCALES ISOLÉES -À PROPOS 50 CAS- = علاج الآفات تاهلالية بالتنظير المفصلي [partition musicale imprimée] / IMANE EL AMOURI, Technicien graphique . - 2016 . - 112 Pages ; A4.
ISSN : 162/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : LÉSIONS MÉNISCALES ISOLÉES IRM TRAITEMENT ARTHROSCOPIQUE RÉPARATION MÉNISCALE MÉNISCECTOMIE PARTIELLE. Résumé : L’arthroscopie est une technique peu agressive permettant d’effectuer un certain nombre d’interventions chirurgicales sur le genou qui sont en effet très précises avec un meilleur résultat; ainsi qu’elle permet en particulier d’effectuer un geste chirurgical rapide avec une hospitalisation courte, et des suites post opératoires habituellement très simples ; ce qui permet une reprise rapide des activités de la vie quotidienne.
Elle est parfois utilisée pour une simple exploration diagnostique de cette articulation.
Nos objectifs étaient d’évaluer le profil épidémiologique, clinique et radiologique des lésions méniscales isolées et leur prise en charge, et d’effectuer une comparaison des différents résultats dans la littérature.
Dans le cadre de l’évaluation de l’apport de l’arthroscopie dans les lésions méniscales, nous présentons dans ce travail une étude rétrospective, portant sur 50 patients atteints d’une lésion méniscale isolée traitée sous arthroscopie au service de traumatologie-orthopédie CHU Mohamed VI de Oujda entre janvier 2013 et décembre 2015.
Nous avons constaté qu’il existe une nette prédominance masculine (82%) avec un âge
moyen de 34.9 ans. Les lésions traumatiques sont les plus fréquentes ; essentiellement les accidents sportives (40%).
La symptomatologie d’appel à la lésion méniscale a associé le plus souvent : la douleur (100% des cas), l’IFP (44% des cas), le blocage (46% des cas) et insatiabilité (14% des cas)
L’examen programmé du genou a noté la présence d’un cri méniscal chez 64 % des cas, un Grinding test positif chez 98% des cas et un Mac Murray chez 65% des cas.
Le diagnostic de lésion méniscale a été complété par IRM (100%), en sachant que la radiographie standard a été incontournable dans l’étude de cette articulation.
Elle nous a permis de retrouver 36 lésions du ménisque interne (72%) ,14 lésions du ménisque externe (28%).
L’attitude thérapeutique a consisté en une méniscectomie partielle sous arthroscopie chez 94% des cas contre 6% des patients traités par suture méniscale.
Les résultats fonctionnels ont été jugés selon les critères d’évaluation de MERLE D’AUBIGNE et MAZAS ; ainsi, nous avons obtenus 78 % d’excellents et de bons résultats, 22% de moyens résultats, et aucun mauvais résultat.
D’après notre expérience on a remarqué que la méniscectomie est l’un des meilleurs exemples d’utilisation de l’arthroscopie à des fins thérapeutiques. Elle permet une chirurgie non traumatique et économique des lésions méniscales, avec des suites opératoires très simples, qui autorisent le lever dès le lendemain de l’intervention. La rééducation n’est pas une prescription systématique.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 162/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 162/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible ADÉNOMYOSE UTÉRINE , À PROPOS DE 21 CAS ET REVUE DE LA LITTÉRATURE / MOHAMMED LAHMER
Titre : ADÉNOMYOSE UTÉRINE , À PROPOS DE 21 CAS ET REVUE DE LA LITTÉRATURE Titre original : العضال الغدي الرحمي بصدد 21 حالة مع مراجعة الأدبيات Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : MOHAMMED LAHMER, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 104 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 235/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADÉNOMYOSE PHYSIOPATHOLOGIE DIAGNOSTIC RADIOLOGIE CLINIQUE ECHOGRAPHIE IRM ANATOMOPATHOLOGIE TRAITEMENT Résumé : Le but de notre étude est l'analyse des différents aspects épidémiologiques, cliniques, paracliniques et thérapeutiques de l'adénomyose. Il s'agit d'une étude rétrospective sur 21 patientes ayant bénéficié d'une hystérectomie pour des raisons diverses entre le 1er septembre 2014 et 31 aout 2016 et dont l'étude histologique de la pièce opératoire a révélé la présence d'adénomyose. 69 hystérectomies ont été réalisées pendant la même période d'étude, soit une fréquence de l'adénomyose sur pièce opératoire de 30.5%. L'âge moyen de nos patientes est de 50 ans (extrêmes : 37_85 ans). 9,5% d’entres-elles sont ménopausées et 18.5% avaient des antécédents de traumatisme utérin. La symptomatologie a été dominée par les ménometrorragies (85,7%) et lesdouleurs pelviennes (66.7%). Le diagnostic préopératoire a été suspecté sur les données cliniques dans 57.14% des cas, et de l'échographie pelvienne (transabdominale et endovaginale) dans 76% des cas. L'analyse histologique des pièces d'hystérectomie trouve des myomes associés dans 81% des cas, des kystes de l’ovaire 19%, d’adénocarcinome de
l’endomètre dans 9,5%, une hyperplasie de l'endomètre dans 4.8%, et des polypes dans 4.8%. L'adénomyose, maladie énigmatique, échappe toujours à une stratégie thérapeutique bien codifiée, et demeure étroitement liée à l'hystérectomie. Son dépistage chez des femmes de plus en plus jeunes et à des stades moins avancés pourrait éviter l'évolution systématique vers les traitements radicaux.ADÉNOMYOSE UTÉRINE , À PROPOS DE 21 CAS ET REVUE DE LA LITTÉRATURE = العضال الغدي الرحمي بصدد 21 حالة مع مراجعة الأدبيات [partition musicale imprimée] / MOHAMMED LAHMER, Technicien graphique . - 2016 . - 104 Pages ; A4.
ISSN : 235/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : ADÉNOMYOSE PHYSIOPATHOLOGIE DIAGNOSTIC RADIOLOGIE CLINIQUE ECHOGRAPHIE IRM ANATOMOPATHOLOGIE TRAITEMENT Résumé : Le but de notre étude est l'analyse des différents aspects épidémiologiques, cliniques, paracliniques et thérapeutiques de l'adénomyose. Il s'agit d'une étude rétrospective sur 21 patientes ayant bénéficié d'une hystérectomie pour des raisons diverses entre le 1er septembre 2014 et 31 aout 2016 et dont l'étude histologique de la pièce opératoire a révélé la présence d'adénomyose. 69 hystérectomies ont été réalisées pendant la même période d'étude, soit une fréquence de l'adénomyose sur pièce opératoire de 30.5%. L'âge moyen de nos patientes est de 50 ans (extrêmes : 37_85 ans). 9,5% d’entres-elles sont ménopausées et 18.5% avaient des antécédents de traumatisme utérin. La symptomatologie a été dominée par les ménometrorragies (85,7%) et lesdouleurs pelviennes (66.7%). Le diagnostic préopératoire a été suspecté sur les données cliniques dans 57.14% des cas, et de l'échographie pelvienne (transabdominale et endovaginale) dans 76% des cas. L'analyse histologique des pièces d'hystérectomie trouve des myomes associés dans 81% des cas, des kystes de l’ovaire 19%, d’adénocarcinome de
l’endomètre dans 9,5%, une hyperplasie de l'endomètre dans 4.8%, et des polypes dans 4.8%. L'adénomyose, maladie énigmatique, échappe toujours à une stratégie thérapeutique bien codifiée, et demeure étroitement liée à l'hystérectomie. Son dépistage chez des femmes de plus en plus jeunes et à des stades moins avancés pourrait éviter l'évolution systématique vers les traitements radicaux.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 235/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 235/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible