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L'APPORT DE L'ECHOGRAPHIE DANS LE DIAGNOSTIC DES APPENDICITES AIGUËS CHEZ L'ENFANT / FATIMA ZOHRA MAKHTARI
Titre : L'APPORT DE L'ECHOGRAPHIE DANS LE DIAGNOSTIC DES APPENDICITES AIGUËS CHEZ L'ENFANT Titre original : أهمية الموجات فوق الصوتية في تشخيص الزائدة الدودية عند الأطفال Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : FATIMA ZOHRA MAKHTARI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 107 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 146/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : APPENDICITE ECHOGRAPHIE ENFANT. Résumé : L’appendicectomie est la plus fréquente des interventions abdominales au Maroc. Le diagnostic de l’appendicite aiguë est difficile, conduisant à une élévation du taux d’appendicectomies inutiles, surtout chez l’enfant. L’appendicectomie est justifiée par la peur de méconnaître une appendicite aiguë avec le risque de perforation ou de péritonite dont on connaît la morbidité. Il semble donc intéressant de trouver une aide au diagnostic.
L’objectif principal de notre étude était d’évaluer chez l’enfant la sensibilité et la spécificité de l’échographie dans le diagnostic de l’appendicite aiguë.
Nous avons mené une étude rétrospective au service de chirurgie pédiatrique du CHR Al Farabi et le service de chirurgie uro-viscérale pédiatrique du CHU Mohammed VI de Oujda sur une durée de trois ans et demi (de 01/01/2013 à 30/06/2016) à propos de 409 cas.
Tous nos patients ont eu une échographie abdominopelvienne. Le diagnostic clinique était basé sur le syndrome appendiculaire notamment la douleur de la FID (70,4%), la fièvre (82,2%) et les nausées ou vomissements (85,5%).
L’échographie a étudié l’appendice, l’atmosphère péri-appendiculaire et recherché un autre diagnostic au niveau des viscères de voisinage. Les performances de l’échographie ont été jugées sur les données de l’exploration chirurgicale pour les patients opérés (333 cas) et le suivi clinique et biologique pour les non opérés (76cas). L’échographie avait dans cette série une sensibilité de (89,1%), une spécificité de (68,8%), une valeur prédictive positive de (85%), une valeur prédictive négative de (70,4%) et un test de Kappa de (0,58). Les faux positifs de l’échographie étaient de (11%) où l’appendice paraissait normal en per-opératoire, et les faux négatifs étaient de (7,8%), valeur qui s’explique par les conditions du malade ainsi que l’expérience du radiologue.
Il en résulte que L’échographie abdominopelvienne systématique est un test diagnostique efficace en cas de suspicion d’appendicite aiguë chez l’enfant.L'APPORT DE L'ECHOGRAPHIE DANS LE DIAGNOSTIC DES APPENDICITES AIGUËS CHEZ L'ENFANT = أهمية الموجات فوق الصوتية في تشخيص الزائدة الدودية عند الأطفال [partition musicale imprimée] / FATIMA ZOHRA MAKHTARI, Technicien graphique . - 2016 . - 107 Pages ; A4.
ISSN : 146/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : APPENDICITE ECHOGRAPHIE ENFANT. Résumé : L’appendicectomie est la plus fréquente des interventions abdominales au Maroc. Le diagnostic de l’appendicite aiguë est difficile, conduisant à une élévation du taux d’appendicectomies inutiles, surtout chez l’enfant. L’appendicectomie est justifiée par la peur de méconnaître une appendicite aiguë avec le risque de perforation ou de péritonite dont on connaît la morbidité. Il semble donc intéressant de trouver une aide au diagnostic.
L’objectif principal de notre étude était d’évaluer chez l’enfant la sensibilité et la spécificité de l’échographie dans le diagnostic de l’appendicite aiguë.
Nous avons mené une étude rétrospective au service de chirurgie pédiatrique du CHR Al Farabi et le service de chirurgie uro-viscérale pédiatrique du CHU Mohammed VI de Oujda sur une durée de trois ans et demi (de 01/01/2013 à 30/06/2016) à propos de 409 cas.
Tous nos patients ont eu une échographie abdominopelvienne. Le diagnostic clinique était basé sur le syndrome appendiculaire notamment la douleur de la FID (70,4%), la fièvre (82,2%) et les nausées ou vomissements (85,5%).
L’échographie a étudié l’appendice, l’atmosphère péri-appendiculaire et recherché un autre diagnostic au niveau des viscères de voisinage. Les performances de l’échographie ont été jugées sur les données de l’exploration chirurgicale pour les patients opérés (333 cas) et le suivi clinique et biologique pour les non opérés (76cas). L’échographie avait dans cette série une sensibilité de (89,1%), une spécificité de (68,8%), une valeur prédictive positive de (85%), une valeur prédictive négative de (70,4%) et un test de Kappa de (0,58). Les faux positifs de l’échographie étaient de (11%) où l’appendice paraissait normal en per-opératoire, et les faux négatifs étaient de (7,8%), valeur qui s’explique par les conditions du malade ainsi que l’expérience du radiologue.
Il en résulte que L’échographie abdominopelvienne systématique est un test diagnostique efficace en cas de suspicion d’appendicite aiguë chez l’enfant.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 146/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 146/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible LE PLASTRON APPENDICULAIRE CHEZ L’ENFANT À PROPOS DE 26 CAS / AMINE MAJDOUBI
Titre : LE PLASTRON APPENDICULAIRE CHEZ L’ENFANT À PROPOS DE 26 CAS Titre original : الدرع الزائدي عند الأطفال Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : AMINE MAJDOUBI, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 132 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 067/15 Mots-clés : PLASTRON APPENDICULAIRE APPENDICITE ANTIBIOTHÉRAPIE ENFANTS. Résumé : Le plastron appendiculaire est une forme évolutive particulière des appendicites aigues, il correspond à un agglomérat d’anses grêles centré par l’appendice inflammatoire. Notre travail a pour objectif de décrire les particularités du plastron appendiculaire chez l’enfant en termes de diagnostic clinique, biologique, radiologique, thérapeutique, évolutif. Nous rapportons 26 observations, qui ont présenté des plastrons appendiculaires au service de chirurgie pédiatrique à l’hôpital Régional AL Farabi d’Oujda entre janvier 2010 à décembre 2014.Les cas d’appendicites aigues ont été colligés pendant 5 ans (N = 740), parmi lesquels 26 cas de plastrons appendiculaires ont été notés (fréquence de 3,5%). L’âge moyen a été de 9,92 ans pour les cas de plastrons appendiculaires. Le sexe ratio a été de 5 filles (19%) pour 21 garçons (81%). La durée moyenne des symptômes a été de 8,58±3,646 jours, la douleur abdominale est un signe constant retrouvé chez tous les patients. La température moyenne a été de 38,6 C°, une hyperleucocytose >10000 éléments /mm³ a été retrouvée chez 23 malades soit 88,5% de notre effectif. Une masse appendiculaire a été palpée chez 42,3% (n=11). Le diagnostic du plastron appendiculaire a été fait à l’échographie dans 24 cas, à l’examen sous AG dans deux fois et une fois au scanner et une fois à l’exploration opératoire. Tous les patients de notre série ont été mis sous antibiothérapie, 50 % ont été mis sous traitement médical seul, qui consiste en une antibiothérapie en IV, la durée moyenne d’ATB a été de 8,92±1,787 jour, l’échec du traitement médical a été constaté chez 4 malades soit 15,3%. 50 % des patients, ont été opérés, pour
un plastron compliqué, l’appendicectomie a été réalisée dans 7 cas et le drainage de la cavité abdominale chez 5 malades, un malade a bénéficié d’une laparotomie blanche .Deux malades ont été convoqués pour appendicectomie différée. Le plastron appendiculaire complique 2 à 6 % des appendicites aigues de l’enfant. Il correspond à une réaction péritonéale qui tend à circonscrire l’inflammation. Il survient chez l’enfant entre 8 à 13 ans, et prédomine chez le sexe masculin. Son diagnostic est généralement suspecté devant une douleur abdominale subaigüe qui évolue depuis plusieurs jours, localisée dans la FID, associée à des vomissements, constipation, fièvre chiffrée entre 38-39c°. La palpation abdominale retrouve dans la majorité des cas, une masse de FID qui réveille une douleur exquise qui limite l’examen clinique. L’échographie peut préciser, redresser ou appuyer un diagnostic suspecté, l’ASP n’a pas d’intérêt pour le diagnostic, la TDM trouve son indication en cas de doute diagnostique. La prise en charge du plastron appendiculaire est entourée de controverses.
Le traitement usuel a toujours été conservateur avec l’appendicectomie réalisée plusieurs semaines après la fonte de la masse. C’est l’attitude la plus commune dans la plupart des centres à travers le monde. Récemment, a été constaté dans un nombre croissant d’études que l’appendicectomie secondaire ne doit pas être une pratique de routine vu que la fréquence de récidive est très faible. A travers nos résultats et les données de littérature les plus récentes, Le traitement médical reste la meilleure approche thérapeutique, son efficacité a été largement démontrée, il doit être soumis à une surveillance rigoureuse au cours de la première année surtout les 6 premiers mois oŭ le risque de récidive est plus important. Le traitement chirurgical est réservé aux cas compliqués d’abcédation ou de péritonite généralisée. Enfin nous ne pouvons pas conclure ce travail sans trop insister sur la prévention du plastron appendiculaireLE PLASTRON APPENDICULAIRE CHEZ L’ENFANT À PROPOS DE 26 CAS = الدرع الزائدي عند الأطفال [partition musicale imprimée] / AMINE MAJDOUBI, Auteur . - 2015 . - 132 Pages ; A4.
ISSN : 067/15
Mots-clés : PLASTRON APPENDICULAIRE APPENDICITE ANTIBIOTHÉRAPIE ENFANTS. Résumé : Le plastron appendiculaire est une forme évolutive particulière des appendicites aigues, il correspond à un agglomérat d’anses grêles centré par l’appendice inflammatoire. Notre travail a pour objectif de décrire les particularités du plastron appendiculaire chez l’enfant en termes de diagnostic clinique, biologique, radiologique, thérapeutique, évolutif. Nous rapportons 26 observations, qui ont présenté des plastrons appendiculaires au service de chirurgie pédiatrique à l’hôpital Régional AL Farabi d’Oujda entre janvier 2010 à décembre 2014.Les cas d’appendicites aigues ont été colligés pendant 5 ans (N = 740), parmi lesquels 26 cas de plastrons appendiculaires ont été notés (fréquence de 3,5%). L’âge moyen a été de 9,92 ans pour les cas de plastrons appendiculaires. Le sexe ratio a été de 5 filles (19%) pour 21 garçons (81%). La durée moyenne des symptômes a été de 8,58±3,646 jours, la douleur abdominale est un signe constant retrouvé chez tous les patients. La température moyenne a été de 38,6 C°, une hyperleucocytose >10000 éléments /mm³ a été retrouvée chez 23 malades soit 88,5% de notre effectif. Une masse appendiculaire a été palpée chez 42,3% (n=11). Le diagnostic du plastron appendiculaire a été fait à l’échographie dans 24 cas, à l’examen sous AG dans deux fois et une fois au scanner et une fois à l’exploration opératoire. Tous les patients de notre série ont été mis sous antibiothérapie, 50 % ont été mis sous traitement médical seul, qui consiste en une antibiothérapie en IV, la durée moyenne d’ATB a été de 8,92±1,787 jour, l’échec du traitement médical a été constaté chez 4 malades soit 15,3%. 50 % des patients, ont été opérés, pour
un plastron compliqué, l’appendicectomie a été réalisée dans 7 cas et le drainage de la cavité abdominale chez 5 malades, un malade a bénéficié d’une laparotomie blanche .Deux malades ont été convoqués pour appendicectomie différée. Le plastron appendiculaire complique 2 à 6 % des appendicites aigues de l’enfant. Il correspond à une réaction péritonéale qui tend à circonscrire l’inflammation. Il survient chez l’enfant entre 8 à 13 ans, et prédomine chez le sexe masculin. Son diagnostic est généralement suspecté devant une douleur abdominale subaigüe qui évolue depuis plusieurs jours, localisée dans la FID, associée à des vomissements, constipation, fièvre chiffrée entre 38-39c°. La palpation abdominale retrouve dans la majorité des cas, une masse de FID qui réveille une douleur exquise qui limite l’examen clinique. L’échographie peut préciser, redresser ou appuyer un diagnostic suspecté, l’ASP n’a pas d’intérêt pour le diagnostic, la TDM trouve son indication en cas de doute diagnostique. La prise en charge du plastron appendiculaire est entourée de controverses.
Le traitement usuel a toujours été conservateur avec l’appendicectomie réalisée plusieurs semaines après la fonte de la masse. C’est l’attitude la plus commune dans la plupart des centres à travers le monde. Récemment, a été constaté dans un nombre croissant d’études que l’appendicectomie secondaire ne doit pas être une pratique de routine vu que la fréquence de récidive est très faible. A travers nos résultats et les données de littérature les plus récentes, Le traitement médical reste la meilleure approche thérapeutique, son efficacité a été largement démontrée, il doit être soumis à une surveillance rigoureuse au cours de la première année surtout les 6 premiers mois oŭ le risque de récidive est plus important. Le traitement chirurgical est réservé aux cas compliqués d’abcédation ou de péritonite généralisée. Enfin nous ne pouvons pas conclure ce travail sans trop insister sur la prévention du plastron appendiculaireExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 067/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 067/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible