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CELLULITES CERVICO-FACIALES -A PROPOS DE 43 CAS- / ASMAE MEHDAOUI
Titre : CELLULITES CERVICO-FACIALES -A PROPOS DE 43 CAS- Titre original : إلتهاب النسيج الخلوي للوجه و الرقبة Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : ASMAE MEHDAOUI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 99 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 141/16 Mots-clés : CELLULITES CERVICO-FACIALES ORIGINE DENTAIRE ANTIBIOTHÉRAPIE DRAINAGE CHIRURGICALE. Résumé : Les cellulites cervico-faciales, sont des infections graves.
Notre étude est rétrospective et a porté sur 43 cas de cellulites cervicales et/ou faciales colligées sur 2 ans, de Janvier 2014 à Décembre 2015. Il s’agit de 24 malades de sexe masculin (55,81%) et 19 féminins (44,19%), l’âge
moyen était de 34 ans. Les facteurs favorisants et aggravants retrouvés étaient le mauvais état buccodentaire, l’intoxication tabagique et la prise d’AINS. La porte d’entrée a été dentaire dans 72,1% des cas, oro-pharyngée dans 23,3%, 4% cutanés et sinusiens.
Le délai moyen de consultation était de 2-3 jours. Le motif de consultation le plus fréquent était une tuméfaction cervicale et/ou faciale chaude douloureuse dans tous les cas, associée à un trismus dans 28% des cas et une fièvre dans 53 ,4%.
Le prélèvement de la collection a été fait chez 51,2% des patients et avaient objectivé une flore poly microbienne avec des cocci et bacille gram négatifs.
Le scanner a été fait chez 20 patients (46,5%) et il avait objectivé une infiltration des parties molles des tissus cutanés et sous cutanées, des images de collections, et présence d’une extension médiastinale dans quatre cas (9,3%).
Tous nos malades ont bénéficié d’une antibiothérapie à large spectre, seul 51,2% ont été opérés. L’évolution était favorable chez 40 malades (93%) avec trois décès (7%) au milieu de réanimation par médiastinite.
Nos résultats rejoignent ceux de la littérature sur le plan épidémiologique. Le rôle du terrain a été souligné par beaucoup d’auteurs et les portes d’entrée les fréquemment répertoriées sont dentaires pharyngo-amygdaliennes et cutanées, ce qui concorde avec nos résultats. Le diagnostic de cellulite cervico-faciale est clinique confirmé par le scanner, les germes en cause sont variables, il s’agit le plus souvent des germes saprophytes de la cavité buccale. Le traitement est double : médical et chirurgical. La prévention permet d’éviter la survenue de ces infections.CELLULITES CERVICO-FACIALES -A PROPOS DE 43 CAS- = إلتهاب النسيج الخلوي للوجه و الرقبة [partition musicale imprimée] / ASMAE MEHDAOUI, Technicien graphique . - 2016 . - 99 Pages ; A4.
ISSN : 141/16
Mots-clés : CELLULITES CERVICO-FACIALES ORIGINE DENTAIRE ANTIBIOTHÉRAPIE DRAINAGE CHIRURGICALE. Résumé : Les cellulites cervico-faciales, sont des infections graves.
Notre étude est rétrospective et a porté sur 43 cas de cellulites cervicales et/ou faciales colligées sur 2 ans, de Janvier 2014 à Décembre 2015. Il s’agit de 24 malades de sexe masculin (55,81%) et 19 féminins (44,19%), l’âge
moyen était de 34 ans. Les facteurs favorisants et aggravants retrouvés étaient le mauvais état buccodentaire, l’intoxication tabagique et la prise d’AINS. La porte d’entrée a été dentaire dans 72,1% des cas, oro-pharyngée dans 23,3%, 4% cutanés et sinusiens.
Le délai moyen de consultation était de 2-3 jours. Le motif de consultation le plus fréquent était une tuméfaction cervicale et/ou faciale chaude douloureuse dans tous les cas, associée à un trismus dans 28% des cas et une fièvre dans 53 ,4%.
Le prélèvement de la collection a été fait chez 51,2% des patients et avaient objectivé une flore poly microbienne avec des cocci et bacille gram négatifs.
Le scanner a été fait chez 20 patients (46,5%) et il avait objectivé une infiltration des parties molles des tissus cutanés et sous cutanées, des images de collections, et présence d’une extension médiastinale dans quatre cas (9,3%).
Tous nos malades ont bénéficié d’une antibiothérapie à large spectre, seul 51,2% ont été opérés. L’évolution était favorable chez 40 malades (93%) avec trois décès (7%) au milieu de réanimation par médiastinite.
Nos résultats rejoignent ceux de la littérature sur le plan épidémiologique. Le rôle du terrain a été souligné par beaucoup d’auteurs et les portes d’entrée les fréquemment répertoriées sont dentaires pharyngo-amygdaliennes et cutanées, ce qui concorde avec nos résultats. Le diagnostic de cellulite cervico-faciale est clinique confirmé par le scanner, les germes en cause sont variables, il s’agit le plus souvent des germes saprophytes de la cavité buccale. Le traitement est double : médical et chirurgical. La prévention permet d’éviter la survenue de ces infections.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 141/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 141/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible LE PLASTRON APPENDICULAIRE CHEZ L’ENFANT À PROPOS DE 26 CAS / AMINE MAJDOUBI
Titre : LE PLASTRON APPENDICULAIRE CHEZ L’ENFANT À PROPOS DE 26 CAS Titre original : الدرع الزائدي عند الأطفال Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : AMINE MAJDOUBI, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 132 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 067/15 Mots-clés : PLASTRON APPENDICULAIRE APPENDICITE ANTIBIOTHÉRAPIE ENFANTS. Résumé : Le plastron appendiculaire est une forme évolutive particulière des appendicites aigues, il correspond à un agglomérat d’anses grêles centré par l’appendice inflammatoire. Notre travail a pour objectif de décrire les particularités du plastron appendiculaire chez l’enfant en termes de diagnostic clinique, biologique, radiologique, thérapeutique, évolutif. Nous rapportons 26 observations, qui ont présenté des plastrons appendiculaires au service de chirurgie pédiatrique à l’hôpital Régional AL Farabi d’Oujda entre janvier 2010 à décembre 2014.Les cas d’appendicites aigues ont été colligés pendant 5 ans (N = 740), parmi lesquels 26 cas de plastrons appendiculaires ont été notés (fréquence de 3,5%). L’âge moyen a été de 9,92 ans pour les cas de plastrons appendiculaires. Le sexe ratio a été de 5 filles (19%) pour 21 garçons (81%). La durée moyenne des symptômes a été de 8,58±3,646 jours, la douleur abdominale est un signe constant retrouvé chez tous les patients. La température moyenne a été de 38,6 C°, une hyperleucocytose >10000 éléments /mm³ a été retrouvée chez 23 malades soit 88,5% de notre effectif. Une masse appendiculaire a été palpée chez 42,3% (n=11). Le diagnostic du plastron appendiculaire a été fait à l’échographie dans 24 cas, à l’examen sous AG dans deux fois et une fois au scanner et une fois à l’exploration opératoire. Tous les patients de notre série ont été mis sous antibiothérapie, 50 % ont été mis sous traitement médical seul, qui consiste en une antibiothérapie en IV, la durée moyenne d’ATB a été de 8,92±1,787 jour, l’échec du traitement médical a été constaté chez 4 malades soit 15,3%. 50 % des patients, ont été opérés, pour
un plastron compliqué, l’appendicectomie a été réalisée dans 7 cas et le drainage de la cavité abdominale chez 5 malades, un malade a bénéficié d’une laparotomie blanche .Deux malades ont été convoqués pour appendicectomie différée. Le plastron appendiculaire complique 2 à 6 % des appendicites aigues de l’enfant. Il correspond à une réaction péritonéale qui tend à circonscrire l’inflammation. Il survient chez l’enfant entre 8 à 13 ans, et prédomine chez le sexe masculin. Son diagnostic est généralement suspecté devant une douleur abdominale subaigüe qui évolue depuis plusieurs jours, localisée dans la FID, associée à des vomissements, constipation, fièvre chiffrée entre 38-39c°. La palpation abdominale retrouve dans la majorité des cas, une masse de FID qui réveille une douleur exquise qui limite l’examen clinique. L’échographie peut préciser, redresser ou appuyer un diagnostic suspecté, l’ASP n’a pas d’intérêt pour le diagnostic, la TDM trouve son indication en cas de doute diagnostique. La prise en charge du plastron appendiculaire est entourée de controverses.
Le traitement usuel a toujours été conservateur avec l’appendicectomie réalisée plusieurs semaines après la fonte de la masse. C’est l’attitude la plus commune dans la plupart des centres à travers le monde. Récemment, a été constaté dans un nombre croissant d’études que l’appendicectomie secondaire ne doit pas être une pratique de routine vu que la fréquence de récidive est très faible. A travers nos résultats et les données de littérature les plus récentes, Le traitement médical reste la meilleure approche thérapeutique, son efficacité a été largement démontrée, il doit être soumis à une surveillance rigoureuse au cours de la première année surtout les 6 premiers mois oŭ le risque de récidive est plus important. Le traitement chirurgical est réservé aux cas compliqués d’abcédation ou de péritonite généralisée. Enfin nous ne pouvons pas conclure ce travail sans trop insister sur la prévention du plastron appendiculaireLE PLASTRON APPENDICULAIRE CHEZ L’ENFANT À PROPOS DE 26 CAS = الدرع الزائدي عند الأطفال [partition musicale imprimée] / AMINE MAJDOUBI, Auteur . - 2015 . - 132 Pages ; A4.
ISSN : 067/15
Mots-clés : PLASTRON APPENDICULAIRE APPENDICITE ANTIBIOTHÉRAPIE ENFANTS. Résumé : Le plastron appendiculaire est une forme évolutive particulière des appendicites aigues, il correspond à un agglomérat d’anses grêles centré par l’appendice inflammatoire. Notre travail a pour objectif de décrire les particularités du plastron appendiculaire chez l’enfant en termes de diagnostic clinique, biologique, radiologique, thérapeutique, évolutif. Nous rapportons 26 observations, qui ont présenté des plastrons appendiculaires au service de chirurgie pédiatrique à l’hôpital Régional AL Farabi d’Oujda entre janvier 2010 à décembre 2014.Les cas d’appendicites aigues ont été colligés pendant 5 ans (N = 740), parmi lesquels 26 cas de plastrons appendiculaires ont été notés (fréquence de 3,5%). L’âge moyen a été de 9,92 ans pour les cas de plastrons appendiculaires. Le sexe ratio a été de 5 filles (19%) pour 21 garçons (81%). La durée moyenne des symptômes a été de 8,58±3,646 jours, la douleur abdominale est un signe constant retrouvé chez tous les patients. La température moyenne a été de 38,6 C°, une hyperleucocytose >10000 éléments /mm³ a été retrouvée chez 23 malades soit 88,5% de notre effectif. Une masse appendiculaire a été palpée chez 42,3% (n=11). Le diagnostic du plastron appendiculaire a été fait à l’échographie dans 24 cas, à l’examen sous AG dans deux fois et une fois au scanner et une fois à l’exploration opératoire. Tous les patients de notre série ont été mis sous antibiothérapie, 50 % ont été mis sous traitement médical seul, qui consiste en une antibiothérapie en IV, la durée moyenne d’ATB a été de 8,92±1,787 jour, l’échec du traitement médical a été constaté chez 4 malades soit 15,3%. 50 % des patients, ont été opérés, pour
un plastron compliqué, l’appendicectomie a été réalisée dans 7 cas et le drainage de la cavité abdominale chez 5 malades, un malade a bénéficié d’une laparotomie blanche .Deux malades ont été convoqués pour appendicectomie différée. Le plastron appendiculaire complique 2 à 6 % des appendicites aigues de l’enfant. Il correspond à une réaction péritonéale qui tend à circonscrire l’inflammation. Il survient chez l’enfant entre 8 à 13 ans, et prédomine chez le sexe masculin. Son diagnostic est généralement suspecté devant une douleur abdominale subaigüe qui évolue depuis plusieurs jours, localisée dans la FID, associée à des vomissements, constipation, fièvre chiffrée entre 38-39c°. La palpation abdominale retrouve dans la majorité des cas, une masse de FID qui réveille une douleur exquise qui limite l’examen clinique. L’échographie peut préciser, redresser ou appuyer un diagnostic suspecté, l’ASP n’a pas d’intérêt pour le diagnostic, la TDM trouve son indication en cas de doute diagnostique. La prise en charge du plastron appendiculaire est entourée de controverses.
Le traitement usuel a toujours été conservateur avec l’appendicectomie réalisée plusieurs semaines après la fonte de la masse. C’est l’attitude la plus commune dans la plupart des centres à travers le monde. Récemment, a été constaté dans un nombre croissant d’études que l’appendicectomie secondaire ne doit pas être une pratique de routine vu que la fréquence de récidive est très faible. A travers nos résultats et les données de littérature les plus récentes, Le traitement médical reste la meilleure approche thérapeutique, son efficacité a été largement démontrée, il doit être soumis à une surveillance rigoureuse au cours de la première année surtout les 6 premiers mois oŭ le risque de récidive est plus important. Le traitement chirurgical est réservé aux cas compliqués d’abcédation ou de péritonite généralisée. Enfin nous ne pouvons pas conclure ce travail sans trop insister sur la prévention du plastron appendiculaireExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 067/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 067/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible