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INSUFFISANCE RÉNALE AIGUE EN MILIEU HOSPITALIER : ETIOLOGIES ET FACTEURS DE RISQUE. / Samia SABRI
Titre : INSUFFISANCE RÉNALE AIGUE EN MILIEU HOSPITALIER : ETIOLOGIES ET FACTEURS DE RISQUE. Titre original : القصور الكلوي الحاد في الوسط الاستشفائي: المسببات وعوامل الخطر Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : Samia SABRI, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 63 pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 004/15 Mots-clés : INSUFFISANCE RÉNALE AIGUE MORTALITÉ SEPSIS DÉSHYDRATATION. Résumé : Introduction :L’insuffisance rénale aigue (IRA) est un facteur de risque majeur de morbidité et de mortalité en milieu hospitalier.L ‘objectif de notre travail était d’étudier le profil épidémiologique, les étiologies, les facteurs de risque et le pronostic de l’IRA en milieu hospitalier.
Méthodes et matériel :Il s’agit d’une étude prospective, allant du 1er Janvier 2014 au 30juin 2014, réalisée à l’hôpital régional Al Farabid’Oujda. Ont été inclus tous les patients présentant une IRA, admis au service de néphrologie et/ou pour lesquels un avis et suivi néphrologiques ont été réalisés.
Résultats :97 cas ont été colligés, avec une moyenne d’âge de 60 ans, et unsex-ratio à 1,63. Plus de 67% des patients de cette série étaient hospitalisés dans les services de réanimation et des urgences.L’insuffisance rénale aigue (IRA) pré rénale domine la série avec 88,7% contre 10,3 % de type post rénal et 6,2% de type rénal.Le traitement de l’IRA comprenait, l’hémodialyse indiquée chez 17,5% des patients, essentiellement pour hyperkaliémie et/ou hyperurémie. La mortalité de cette série a été chiffrée à16%. Le sepsis, l’insuffisance rénale chronique non terminale, ladéshydratation, l’hypotension, la surcharge volémique, ainsi quela classification de RIFLE étaient identifiés comme des facteurs de risque de non récupération de la fonction rénale. De même, le sexe, les troubles de conscience, l’instabilité hémodynamique, la surcharge volémique et les complications hémodynamique et infectieuses étaient identifiés comme des facteurs de risque de décès.
Conclusion : L’incidence de l’IRA en milieu hospitalierreste élevée et greffée d’une lourde morbi-mortalité. Dans notre contexte, les étiologiesrestent dominées par l’hypovolémie et le sepsis. Larécupération de la fonction rénale reste tributaire d’une prise en charge rapide, adéquate et multidisciplinaire.
INSUFFISANCE RÉNALE AIGUE EN MILIEU HOSPITALIER : ETIOLOGIES ET FACTEURS DE RISQUE. = القصور الكلوي الحاد في الوسط الاستشفائي: المسببات وعوامل الخطر [partition musicale imprimée] / Samia SABRI, Auteur . - 2015 . - 63 pages ; A4.
ISSN : 004/15
Mots-clés : INSUFFISANCE RÉNALE AIGUE MORTALITÉ SEPSIS DÉSHYDRATATION. Résumé : Introduction :L’insuffisance rénale aigue (IRA) est un facteur de risque majeur de morbidité et de mortalité en milieu hospitalier.L ‘objectif de notre travail était d’étudier le profil épidémiologique, les étiologies, les facteurs de risque et le pronostic de l’IRA en milieu hospitalier.
Méthodes et matériel :Il s’agit d’une étude prospective, allant du 1er Janvier 2014 au 30juin 2014, réalisée à l’hôpital régional Al Farabid’Oujda. Ont été inclus tous les patients présentant une IRA, admis au service de néphrologie et/ou pour lesquels un avis et suivi néphrologiques ont été réalisés.
Résultats :97 cas ont été colligés, avec une moyenne d’âge de 60 ans, et unsex-ratio à 1,63. Plus de 67% des patients de cette série étaient hospitalisés dans les services de réanimation et des urgences.L’insuffisance rénale aigue (IRA) pré rénale domine la série avec 88,7% contre 10,3 % de type post rénal et 6,2% de type rénal.Le traitement de l’IRA comprenait, l’hémodialyse indiquée chez 17,5% des patients, essentiellement pour hyperkaliémie et/ou hyperurémie. La mortalité de cette série a été chiffrée à16%. Le sepsis, l’insuffisance rénale chronique non terminale, ladéshydratation, l’hypotension, la surcharge volémique, ainsi quela classification de RIFLE étaient identifiés comme des facteurs de risque de non récupération de la fonction rénale. De même, le sexe, les troubles de conscience, l’instabilité hémodynamique, la surcharge volémique et les complications hémodynamique et infectieuses étaient identifiés comme des facteurs de risque de décès.
Conclusion : L’incidence de l’IRA en milieu hospitalierreste élevée et greffée d’une lourde morbi-mortalité. Dans notre contexte, les étiologiesrestent dominées par l’hypovolémie et le sepsis. Larécupération de la fonction rénale reste tributaire d’une prise en charge rapide, adéquate et multidisciplinaire.
Exemplaires (3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 004/15-2 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 004/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 004/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible LES URGENCES NÉPHROLOGIQUE AU SEIN DU CHU MOHAMMED VI OUJDA / KAOUTHAR ZEROUATI
Titre : LES URGENCES NÉPHROLOGIQUE AU SEIN DU CHU MOHAMMED VI OUJDA Titre original : الحالات المستعجلة لأمراض الكلي في المستشفى الجامعي محمد السادس وجدة Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : KAOUTHAR ZEROUATI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 115 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 171/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : URGENCE INSUFFISANCE RÉNALE AIGUË INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE ÉPURATION EXTRA-RÉNALE. Résumé : Les urgences néphrologiques sont fréquentes et variées et souvent émaillées de complications. Leur diagnostic et leur traitement s'imposent dans les plus brefs délais, car elles peuvent engager le pronostic vital du patient.
Le bu t de notre étude est de décrire le profil épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif des urgences néphrologiques au sein du CHU MOHAMMED VI Oujda.
Patients et méthodes :
Nous avons menée une étude transversale de 6 mois, allant de juillet à décembre 2015. La collecte des données a été réalisée à partir du registre de la garde et de dialyse en néphrologie.
Les différents paramètres évalués ont été : l'âge, le sexe, le service de provenance, les antécédents, le(s) type(s) de(s) l'urgence, données cliniques et paracliniques, la prise en charge thérapeutique et l'évolution.
Résultats :
Duran t cette période, 107 patients ont été inclus dans cette étude. Il s'agissait de 65 hommes (60,7%) et 42 femmes (39,3%), dont l'âge moyen était de 52,63 ans.
Plus de 76% des patients de cette série ont été hospitalisés dans les services médicaux, notamment le service des urgences (37,4%) et de néphrologie (16,8%) ; la chirurgie qui ne représentait que 24%, était dominée par le service de chirurgie vasculaire et d'urologie.
Les ATCD les plus fréquemment retrouvés chez nos patients étaient l'IRC en hémodialyse périodique (39,3%), le diabète (32 ,7%) et l'HTA (29%).
Les principales urgences étaient : l'IRA chez 32,7%, les troubles ioniques chez 42% à savoir une hyperkaliémie chez 77,7% et une hyponatrémie chez 22,2%, un OAP chez 29,9%, un syndrome urémique chez 22,4%, une acidose chez 18,7%, une anurie chez 3,7% ainsi que d'autres urgences (Anémie mal tolérée, préparation pour injection de PDC en urgence) chez 26,2%.
Dans 52,3% l'hém séanc la prise en charge immédiate des patients, on a eu recours à un traitement médical chez (seul ou en association avec l'EER) et à l'hémodialyse chez 81%. La technique choisie était 3dialyse conventionnelle intermittente. Le nombre moyen des séances a été de 2,28±1,05 e, avec une durée moyenne de 136,24±44,59 minutes et une médiane d'ultrafiltration de 1023 ml chez 84 malades, le reste des patients ont été dialysés sans UF. La voie d'abord vasculaire était un cathéter fémoral chez 56,5%, une fistule artério-veineuse chez 32,9% et un cathéter jugulaire chez 8,2%. Une anticoagulation en perdialyse a été utilisée chez 69 malades, soit 81,2%.
L'évolution a été favorable chez 72% et défavorable chez 28% (dont 63% avaient la nécessité de recours à l'hémodialyse périodique et un taux de décès de 26,9%).
Discussion :
Une étude similaire a été menée à Marrakech en 201 1 avait conclu que les jeunes sont de plus en plus touchés et que le diabète est un facteur principal de la dégradation de la fonction rénale, aussi l'IRC a été diagnostiquée chez 1/3 des malades, dont l'IRCT stade de dialyse représente 88%. Ce qui prouve la méconnaissance de la population des pathologies rénales, d'où la nécessité d'une sensibilisation pour éviter l'arrivée à ce stade.
Conclusion :
Malgré les nombreuses innovations techniques en matière de suppléance rénale, la mortalité reste importante du fait du vieillissement de la population et la présence des co-morbidités, l'utilisation des médicaments néphrotoxiques et la découverte de ces pathologies à un stade tardif.LES URGENCES NÉPHROLOGIQUE AU SEIN DU CHU MOHAMMED VI OUJDA = الحالات المستعجلة لأمراض الكلي في المستشفى الجامعي محمد السادس وجدة [partition musicale imprimée] / KAOUTHAR ZEROUATI, Technicien graphique . - 2016 . - 115 Pages ; A4.
ISSN : 171/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : URGENCE INSUFFISANCE RÉNALE AIGUË INSUFFISANCE RÉNALE CHRONIQUE ÉPURATION EXTRA-RÉNALE. Résumé : Les urgences néphrologiques sont fréquentes et variées et souvent émaillées de complications. Leur diagnostic et leur traitement s'imposent dans les plus brefs délais, car elles peuvent engager le pronostic vital du patient.
Le bu t de notre étude est de décrire le profil épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif des urgences néphrologiques au sein du CHU MOHAMMED VI Oujda.
Patients et méthodes :
Nous avons menée une étude transversale de 6 mois, allant de juillet à décembre 2015. La collecte des données a été réalisée à partir du registre de la garde et de dialyse en néphrologie.
Les différents paramètres évalués ont été : l'âge, le sexe, le service de provenance, les antécédents, le(s) type(s) de(s) l'urgence, données cliniques et paracliniques, la prise en charge thérapeutique et l'évolution.
Résultats :
Duran t cette période, 107 patients ont été inclus dans cette étude. Il s'agissait de 65 hommes (60,7%) et 42 femmes (39,3%), dont l'âge moyen était de 52,63 ans.
Plus de 76% des patients de cette série ont été hospitalisés dans les services médicaux, notamment le service des urgences (37,4%) et de néphrologie (16,8%) ; la chirurgie qui ne représentait que 24%, était dominée par le service de chirurgie vasculaire et d'urologie.
Les ATCD les plus fréquemment retrouvés chez nos patients étaient l'IRC en hémodialyse périodique (39,3%), le diabète (32 ,7%) et l'HTA (29%).
Les principales urgences étaient : l'IRA chez 32,7%, les troubles ioniques chez 42% à savoir une hyperkaliémie chez 77,7% et une hyponatrémie chez 22,2%, un OAP chez 29,9%, un syndrome urémique chez 22,4%, une acidose chez 18,7%, une anurie chez 3,7% ainsi que d'autres urgences (Anémie mal tolérée, préparation pour injection de PDC en urgence) chez 26,2%.
Dans 52,3% l'hém séanc la prise en charge immédiate des patients, on a eu recours à un traitement médical chez (seul ou en association avec l'EER) et à l'hémodialyse chez 81%. La technique choisie était 3dialyse conventionnelle intermittente. Le nombre moyen des séances a été de 2,28±1,05 e, avec une durée moyenne de 136,24±44,59 minutes et une médiane d'ultrafiltration de 1023 ml chez 84 malades, le reste des patients ont été dialysés sans UF. La voie d'abord vasculaire était un cathéter fémoral chez 56,5%, une fistule artério-veineuse chez 32,9% et un cathéter jugulaire chez 8,2%. Une anticoagulation en perdialyse a été utilisée chez 69 malades, soit 81,2%.
L'évolution a été favorable chez 72% et défavorable chez 28% (dont 63% avaient la nécessité de recours à l'hémodialyse périodique et un taux de décès de 26,9%).
Discussion :
Une étude similaire a été menée à Marrakech en 201 1 avait conclu que les jeunes sont de plus en plus touchés et que le diabète est un facteur principal de la dégradation de la fonction rénale, aussi l'IRC a été diagnostiquée chez 1/3 des malades, dont l'IRCT stade de dialyse représente 88%. Ce qui prouve la méconnaissance de la population des pathologies rénales, d'où la nécessité d'une sensibilisation pour éviter l'arrivée à ce stade.
Conclusion :
Malgré les nombreuses innovations techniques en matière de suppléance rénale, la mortalité reste importante du fait du vieillissement de la population et la présence des co-morbidités, l'utilisation des médicaments néphrotoxiques et la découverte de ces pathologies à un stade tardif.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 171/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 171/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible