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TABAGISME ET SCHIZOPHRENIE : ETUDE TRANSVERSALE SUR SIX MOIS A PROPOS DE 210 PATIENTS / YASSINE RACHDI
Titre : TABAGISME ET SCHIZOPHRENIE : ETUDE TRANSVERSALE SUR SIX MOIS A PROPOS DE 210 PATIENTS Titre original : التدخين و الفصام : دراسة عرضية لستة أشهر Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : YASSINE RACHDI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 101 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 147/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : SCHIZOPHRÉNIE TABAC PRÉVALENCE OBSERVANCE THÉRAPEUTIQUE SUICIDE. Résumé : L’objectif de notre travail est d’étudier les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs du tabagisme chez les patients souffrants de trouble schizophrénique.
Au début, notre travail a comporté une revue de la littérature sur la notion du trouble schizophrénique et les troubles liés à l’usage du tabac puis, sur la comorbidité tabac schizophrénie ensuite sur les conséquences du tabac sur la santé physique des patients schizophrènes.
C’est une étude transversale étalée sur une période de six mois incluant 210 patients schizophrènes consultants à l’hôpital de la santé mentale et des maladies psychiatrique d’Oujda.
L’étude a rapporté les résultats suivants :
L’âge moyen est de 41 ans, avec une prédominance masculine 76%. La fréquence de la comorbidité schizophrénie et tabac est de 44%. Dans plus des trois quarts des cas (82%) le tabagisme a précédé la schizophrénie. Les schizophrènes tabagiques se distinguent des non tabagiques par une surreprésentation masculine. Sur le plan social La majorité des schizophrènes tabagiques sont d’origine urbaine (91%). Sur le plan clinique, les schizophrènes tabagiques ont un nombre supérieur d’antécédents d’hospitalisations psychiatriques (67% versus 63%), d’antécédents de tentatives de suicide, d’antécédents familiaux tabagiques (23% Vs 13%). Les schizophrènes fumeurs obtenaient des scores de symptomatologies négatives et positives plus élevées que les non-fumeurs. Concernant l’adhésion thérapeutique, les schizophrènes fumeurs sont plutôt non compliants et seul 18% avaient une bonne motivation pour le sevrage tabagique.
En comparant le groupe des tabagiques lui-même, les schizophrènes fortement dépendants ont aussi un nombre supérieur d’antécédents de tentatives de suicide (15% Vs 7%), et d’antécédents familiaux tabagiques (27% Vs 19%), par contre le degré de dépendance tabagique chez les fumeurs schizophrènes n’est pas un facteurs déterminants les antécédents hospitalisations psychiatriques. 20% des schizophrènes faiblement dépendant ont une bonne motivation contre seulement 15 % des schizophrènes sévèrement dépendant.TABAGISME ET SCHIZOPHRENIE : ETUDE TRANSVERSALE SUR SIX MOIS A PROPOS DE 210 PATIENTS = التدخين و الفصام : دراسة عرضية لستة أشهر [partition musicale imprimée] / YASSINE RACHDI, Technicien graphique . - 2016 . - 101 Pages ; A4.
ISSN : 147/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : SCHIZOPHRÉNIE TABAC PRÉVALENCE OBSERVANCE THÉRAPEUTIQUE SUICIDE. Résumé : L’objectif de notre travail est d’étudier les aspects épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutifs du tabagisme chez les patients souffrants de trouble schizophrénique.
Au début, notre travail a comporté une revue de la littérature sur la notion du trouble schizophrénique et les troubles liés à l’usage du tabac puis, sur la comorbidité tabac schizophrénie ensuite sur les conséquences du tabac sur la santé physique des patients schizophrènes.
C’est une étude transversale étalée sur une période de six mois incluant 210 patients schizophrènes consultants à l’hôpital de la santé mentale et des maladies psychiatrique d’Oujda.
L’étude a rapporté les résultats suivants :
L’âge moyen est de 41 ans, avec une prédominance masculine 76%. La fréquence de la comorbidité schizophrénie et tabac est de 44%. Dans plus des trois quarts des cas (82%) le tabagisme a précédé la schizophrénie. Les schizophrènes tabagiques se distinguent des non tabagiques par une surreprésentation masculine. Sur le plan social La majorité des schizophrènes tabagiques sont d’origine urbaine (91%). Sur le plan clinique, les schizophrènes tabagiques ont un nombre supérieur d’antécédents d’hospitalisations psychiatriques (67% versus 63%), d’antécédents de tentatives de suicide, d’antécédents familiaux tabagiques (23% Vs 13%). Les schizophrènes fumeurs obtenaient des scores de symptomatologies négatives et positives plus élevées que les non-fumeurs. Concernant l’adhésion thérapeutique, les schizophrènes fumeurs sont plutôt non compliants et seul 18% avaient une bonne motivation pour le sevrage tabagique.
En comparant le groupe des tabagiques lui-même, les schizophrènes fortement dépendants ont aussi un nombre supérieur d’antécédents de tentatives de suicide (15% Vs 7%), et d’antécédents familiaux tabagiques (27% Vs 19%), par contre le degré de dépendance tabagique chez les fumeurs schizophrènes n’est pas un facteurs déterminants les antécédents hospitalisations psychiatriques. 20% des schizophrènes faiblement dépendant ont une bonne motivation contre seulement 15 % des schizophrènes sévèrement dépendant.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 147/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 147/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible