Bibliothèque de la FMPO
Résultat de la recherche
2 résultat(s) recherche sur le mot-clé 'LAPAROTOMIE.'
Affiner la recherche Générer le flux rss de la recherche
Partager le résultat de cette recherche Interroger des sources externes
LES TRAUMATISMES OUVERTS DE L'ABDOMEN : ETUDE ÉPIDÉMIOLOGIQUE , CLINIQUE THÉRAPEUTIQUE (A PROPOS DE 30 CAS) / SORAYA AOUALI
Titre : LES TRAUMATISMES OUVERTS DE L'ABDOMEN : ETUDE ÉPIDÉMIOLOGIQUE , CLINIQUE THÉRAPEUTIQUE (A PROPOS DE 30 CAS) Titre original : البطن المفتوحة : دراسة ديموغرافية , سريرية و علاجية Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : SORAYA AOUALI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 120 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 167/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : TRAUMATISME OUVERT ARME BLANCHE TRAITEMENT CONSERVATEUR LAPAROTOMIE. Résumé : Les traumatismes ouverts de l’abdomen constituent une cause importante de morbidité et de mortalité. Nous avons mené alors une étude rétrospective sur une période allant de Janvier 2014 au Juillet 2016 aux services de chirurgie viscérale au centre hospitalier universitaire Mohammed VI et au centre hospitalier régional El Farabi à Oujda. Cette étude a pour objectif d’évaluer les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des traumatismes ouverts de l abdomen.
Nous avons colligé 30 patients, on a noté une augmentation progressive du nombre des patients au fil de la période de l’étude avec des pics de fréquence pendant l’été. Une nette prédominance masculine a été retrouvée, avec un âge inférieur à 30 ans chez 70% de la population de l’étude.
Dans notre étude, les plaies abdominales par arme blanche dépassent de loin toutes les autres étiologies (86,66% des cas), ayant essentiellement comme cause les actes de violence et les agressions (90% des cas).
46,66% des blessés avaient des habitudes toxiques, 6,66% avaient une HTA, et 3,33% étaient diabétiques.
Sur le plan clinique, 83,33% des blessés ont été admis dans un état hémodynamique stable. A l’inspection 66,66% avaient une plaie abdominale unique, les hypochondres droit et gauche représentaient les sièges les plus atteints lors des traumatismes. La sensibilité abdominale était le principal signe retrouvé (70%) suivie de la défense (20% des cas).
Sur le plan biologique, 76,66% des blessés avaient une hémoglobine supérieure à 11g/dl et 10% avaient une hyperleucocytose. Le taux de prothrombine était normal dans 96,66% des cas.
Sur le plan radiologique, l’ASP a été réalisée chez tous les blessés, un pneumopéritoine a été retrouvé dans 23,33% des cas.
L’échographie était réalisée chez 90% des patients, l’hémopéritoine occupait le premier rang (36,66% des cas). Des lésions spléniques, hépatiques et rénales ont été également retrouvées.
Le scanner abdominal était fait chez 53,33% des patients colligés, les anomalies retrouvées sont variables, dominées par les lésions spléniques,N hépatiques et intestinales.
26,66% des patients on bénéficié d’une transfusion sanguine, 56,66% ont bénéficié d’un traitement chirurgical.
Chez les 17 patients opérés, différents diagnostics ont été retenus en peropératoire : Plaies coliques et intestinales dans 23,33%, lésions vasculaires 36,66%, fracture de la rate 10%, lésions hépatique 6,66% et brèche diaphragmatique 3,33% des cas.
Les sutures intestinales simples ont été réalisées dans 20% des cas, alors que les gestes de résection-anastomose n’ont été réalisés que chez 6,66% des blessés. La splénectomie a été réalisée chez 10% des patients. 36,66% des patients ont bénéficié d’un acte d’hémostase ou ligature vasculaire. 13,33% des patients ont subi une laparotomie blanche.
L’évolution était favorable chez la majorité des patients, 3 cas de complications ont été signalés : choc hémorragique, péritonite biliaire et suppuration de la plaie. Avec un taux de mortalité de 3,33%.
Après cette étude, nous soulignons l’importance du traitement conservateur des plaies abdominales chez les patients, cliniquement stables, qui permet la diminution du taux des laparotomies blanches et celles nonthérapeutiques ainsi que la durée d’hospitalisation et delà, le coût de la prise en charge pour la santé publique. Ceci dit, l’attitude attentiste chez les patients asymptomatique, avec surveillance clinique dans un milieu chirurgical nous paraît justifiée.LES TRAUMATISMES OUVERTS DE L'ABDOMEN : ETUDE ÉPIDÉMIOLOGIQUE , CLINIQUE THÉRAPEUTIQUE (A PROPOS DE 30 CAS) = البطن المفتوحة : دراسة ديموغرافية , سريرية و علاجية [partition musicale imprimée] / SORAYA AOUALI, Technicien graphique . - 2016 . - 120 Pages ; A4.
ISSN : 167/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : TRAUMATISME OUVERT ARME BLANCHE TRAITEMENT CONSERVATEUR LAPAROTOMIE. Résumé : Les traumatismes ouverts de l’abdomen constituent une cause importante de morbidité et de mortalité. Nous avons mené alors une étude rétrospective sur une période allant de Janvier 2014 au Juillet 2016 aux services de chirurgie viscérale au centre hospitalier universitaire Mohammed VI et au centre hospitalier régional El Farabi à Oujda. Cette étude a pour objectif d’évaluer les aspects épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques des traumatismes ouverts de l abdomen.
Nous avons colligé 30 patients, on a noté une augmentation progressive du nombre des patients au fil de la période de l’étude avec des pics de fréquence pendant l’été. Une nette prédominance masculine a été retrouvée, avec un âge inférieur à 30 ans chez 70% de la population de l’étude.
Dans notre étude, les plaies abdominales par arme blanche dépassent de loin toutes les autres étiologies (86,66% des cas), ayant essentiellement comme cause les actes de violence et les agressions (90% des cas).
46,66% des blessés avaient des habitudes toxiques, 6,66% avaient une HTA, et 3,33% étaient diabétiques.
Sur le plan clinique, 83,33% des blessés ont été admis dans un état hémodynamique stable. A l’inspection 66,66% avaient une plaie abdominale unique, les hypochondres droit et gauche représentaient les sièges les plus atteints lors des traumatismes. La sensibilité abdominale était le principal signe retrouvé (70%) suivie de la défense (20% des cas).
Sur le plan biologique, 76,66% des blessés avaient une hémoglobine supérieure à 11g/dl et 10% avaient une hyperleucocytose. Le taux de prothrombine était normal dans 96,66% des cas.
Sur le plan radiologique, l’ASP a été réalisée chez tous les blessés, un pneumopéritoine a été retrouvé dans 23,33% des cas.
L’échographie était réalisée chez 90% des patients, l’hémopéritoine occupait le premier rang (36,66% des cas). Des lésions spléniques, hépatiques et rénales ont été également retrouvées.
Le scanner abdominal était fait chez 53,33% des patients colligés, les anomalies retrouvées sont variables, dominées par les lésions spléniques,N hépatiques et intestinales.
26,66% des patients on bénéficié d’une transfusion sanguine, 56,66% ont bénéficié d’un traitement chirurgical.
Chez les 17 patients opérés, différents diagnostics ont été retenus en peropératoire : Plaies coliques et intestinales dans 23,33%, lésions vasculaires 36,66%, fracture de la rate 10%, lésions hépatique 6,66% et brèche diaphragmatique 3,33% des cas.
Les sutures intestinales simples ont été réalisées dans 20% des cas, alors que les gestes de résection-anastomose n’ont été réalisés que chez 6,66% des blessés. La splénectomie a été réalisée chez 10% des patients. 36,66% des patients ont bénéficié d’un acte d’hémostase ou ligature vasculaire. 13,33% des patients ont subi une laparotomie blanche.
L’évolution était favorable chez la majorité des patients, 3 cas de complications ont été signalés : choc hémorragique, péritonite biliaire et suppuration de la plaie. Avec un taux de mortalité de 3,33%.
Après cette étude, nous soulignons l’importance du traitement conservateur des plaies abdominales chez les patients, cliniquement stables, qui permet la diminution du taux des laparotomies blanches et celles nonthérapeutiques ainsi que la durée d’hospitalisation et delà, le coût de la prise en charge pour la santé publique. Ceci dit, l’attitude attentiste chez les patients asymptomatique, avec surveillance clinique dans un milieu chirurgical nous paraît justifiée.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 167/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 167/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DES CANCERS COLIQUES - A PROPOS DE 30 CAS - / HOUDA ENNOUGOUME
Titre : LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DES CANCERS COLIQUES - A PROPOS DE 30 CAS - Titre original : العلاج الجراحي لسرطان القولون Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : HOUDA ENNOUGOUME, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 99 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 137/16 Mots-clés : CANCER COLIQUE TRAITEMENT CŒLIOSCOPIE LAPAROTOMIE. Résumé : Introduction : Le cancer du côlon constitue un énorme problème de santé publique dans les pays occidentaux, avec des taux d’incidence et de mortalité élevés . Dans notre contexte, il est certes en nette augmentation, mais son importance réelle reste mal évaluée, d’où l’intérêt d’études de séries hospitalières permettant d’en faire une approche.
Matériels et méthodes : il s’agit d’une étude rétrospective sur 30 cas de cancers coliques, pris en charge au service de chirurgie viscérale I et II d’al farabi et de CHU M VI d’Oujda sur une période de 5 ans allant de Janvier 2010 à Décembre 2015.
Résultat : l’incidence annuelle des cas de cancers coliques hospitalisés au service est estimée à 5 cas / an.
L’âge moyen de nos patients était de 62 ans, avec des extrêmes allant de 24 à 84 ans et un sexe ratio homme/femme de 1,5.
La durée d’évolution de la symptomatologie fonctionnelle avant la découverte du cancer est de 10 mois en moyenne.
La symptomatologie clinique révélatrice était dominée par l’altération de l’état général (100 % ) et les douleurs abdominales (93%) .
Le diagnostic positif du cancer colique a été confirmé par la coloscopie totale qu’a été réalisée chez 13 malades.
Ces cancers intéressaient le sigmoide (48%), d’où l’adénocarcinome leiberkuhnien bien différencié prédominait dans notre série avec 76,66 % de l’ensemble des cancers avec preuve histologique
Le bilan d’extension a été réalisé chez 29 malades.
Le traitement n’a été initialement à visée curative que dans 90 % des cas avec en per-opératoire la découverte de 1 cas de carcinose péritonéale, 1 cas de péritonite per-opératoire et un cas d’ascite.
L’évolution était bonne durant le suivi chez 23 malades sans récidive locorégionale ni métastase métachrone, 3 cas de récidives locorégionales et 2 cas de métastases hépatiques.
On a noté 2 cas de décès dans notre série dans les 12 à 36 mois qui suivent leur sortie de l’hôpital.
Discussion : Le cancer du côlon se distingue essentiellement dans notre série, par son apparition chez des sujets relativement jeunes (23,8% des patients étaient âgés de moins de 40 ans) et par le retard diagnostic.
Conclusion : la prise en charge du cancer du côlon doit être multidisciplinaire et bien codifiée, et le dépistage précoce est à promouvoir, afin de pouvoir réaliser une exérèse chirurgicale curative à un stade encore limité de la maladie, permettant ainsi une amélioration en terme de pronostic.LE TRAITEMENT CHIRURGICAL DES CANCERS COLIQUES - A PROPOS DE 30 CAS - = العلاج الجراحي لسرطان القولون [partition musicale imprimée] / HOUDA ENNOUGOUME, Technicien graphique . - 2016 . - 99 Pages ; A4.
ISSN : 137/16
Mots-clés : CANCER COLIQUE TRAITEMENT CŒLIOSCOPIE LAPAROTOMIE. Résumé : Introduction : Le cancer du côlon constitue un énorme problème de santé publique dans les pays occidentaux, avec des taux d’incidence et de mortalité élevés . Dans notre contexte, il est certes en nette augmentation, mais son importance réelle reste mal évaluée, d’où l’intérêt d’études de séries hospitalières permettant d’en faire une approche.
Matériels et méthodes : il s’agit d’une étude rétrospective sur 30 cas de cancers coliques, pris en charge au service de chirurgie viscérale I et II d’al farabi et de CHU M VI d’Oujda sur une période de 5 ans allant de Janvier 2010 à Décembre 2015.
Résultat : l’incidence annuelle des cas de cancers coliques hospitalisés au service est estimée à 5 cas / an.
L’âge moyen de nos patients était de 62 ans, avec des extrêmes allant de 24 à 84 ans et un sexe ratio homme/femme de 1,5.
La durée d’évolution de la symptomatologie fonctionnelle avant la découverte du cancer est de 10 mois en moyenne.
La symptomatologie clinique révélatrice était dominée par l’altération de l’état général (100 % ) et les douleurs abdominales (93%) .
Le diagnostic positif du cancer colique a été confirmé par la coloscopie totale qu’a été réalisée chez 13 malades.
Ces cancers intéressaient le sigmoide (48%), d’où l’adénocarcinome leiberkuhnien bien différencié prédominait dans notre série avec 76,66 % de l’ensemble des cancers avec preuve histologique
Le bilan d’extension a été réalisé chez 29 malades.
Le traitement n’a été initialement à visée curative que dans 90 % des cas avec en per-opératoire la découverte de 1 cas de carcinose péritonéale, 1 cas de péritonite per-opératoire et un cas d’ascite.
L’évolution était bonne durant le suivi chez 23 malades sans récidive locorégionale ni métastase métachrone, 3 cas de récidives locorégionales et 2 cas de métastases hépatiques.
On a noté 2 cas de décès dans notre série dans les 12 à 36 mois qui suivent leur sortie de l’hôpital.
Discussion : Le cancer du côlon se distingue essentiellement dans notre série, par son apparition chez des sujets relativement jeunes (23,8% des patients étaient âgés de moins de 40 ans) et par le retard diagnostic.
Conclusion : la prise en charge du cancer du côlon doit être multidisciplinaire et bien codifiée, et le dépistage précoce est à promouvoir, afin de pouvoir réaliser une exérèse chirurgicale curative à un stade encore limité de la maladie, permettant ainsi une amélioration en terme de pronostic.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 137/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 137/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible