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LES TRAUMATISMES DU CARTILAGE DE CROISSANCE (A propos de 37 cas) / OUIDAD BARMOUSSI
Titre : LES TRAUMATISMES DU CARTILAGE DE CROISSANCE (A propos de 37 cas) Titre original : الانسداد المعوي لحديثي الولادة Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : OUIDAD BARMOUSSI, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 112 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 153/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : CARTILAGE DE CROISSANCE FRACTURES D'ENFANT ÉPIPHYSIODÉSE. Résumé : Les traumatismes du cartilage de croissance constituent une entité anatomo-clinique spécifique à l’enfant et à l’adolescent en croissance. L’objectif de notre étude est d’analyser l’aspect épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif du traumatisme du cartilage de croissance.
Notre étude est rétrospective concernant une série de 37 patients présentant un traumatisme du cartilage de croissance, réalisée au service de chirurgie pédiatrique de l’hôpital EL HASSANI de Nador, sur une période de deux ans entre janvier 2014 et janvier 2016.
Les TCC représentent 3,75% de l’ensemble des fractures de l’enfant hospitalisés, 29 patients étaient des garçons (78,37%), avec un âge moyen de 10,38 ans.
Les chutes représentent 59,5% des causes des TCC, les accidents de voie publique 18,9%, un cas d’enfant battu 2,7% et les autres causes : 8,1%. Le côté gauche était atteint dans 51,35% des cas. Le mécanisme était indirect dans 81% des cas.
A l’admission, tous nos patients ont présenté une douleur importante avec une impotence fonctionnelle absolue chez 33 patients (89,18%) et partielle chez 4 (10,81%). Deux fractures étaient ouvertes, une de type I de CAUCHOIX et DUPARC et l’autre de type II.
Tous nos patients ont bénéficiés d’une radiographie standard Face et Profil, aucun autre examen n’a été fait (pas de TDM ni IRM).
Le radius distal était la localisation préférentielle (75,67%), suivi du Fémur distal 10,81%, Tibia distal 8,1%, et phalanges 2,7%. Selon la classification de Salter et Harris le type II était le plus fréquent 62,16%, suivi du type I 27,02%, type III 8,1% et le type IV 2,7%. La fracture isolée été retrouvée dans 62,16% des cas.
Le traitement a été orthopédique chez 31 patients (83,87%) et chirurgical chez 6 patients (16,21%).
4 complications ont été retrouvés: deux cas d’infections postopératoires (5,4%), une fracture ouverte de type II de COUCHOIX et DUPARC s’est compliqué d’une nécrose cutanée (2,7%) et un cas de légère raideur du poignet (2,7%). Aucun cas d’épiphysiodèse n’a été retrouvé.
La survenue de complications serait en relation avec: le type de fracture, l’importance du déplacement initial, ainsi que la qualité du traitement initial. Le pronostic dépend de la sévérité de la fracture, l’âge du patient, le type de décollement, la localisation, la nature ouverte du décollement, la qualité et modalité de réduction ainsi que le délai de la prise en charge thérapeutique.
Cependant le caractère imprévisible des fractures décollements épiphysaires imposent une surveillance à long terme, jusqu’à la fin de la croissance, pour une évaluation meilleure et crédible.LES TRAUMATISMES DU CARTILAGE DE CROISSANCE (A propos de 37 cas) = الانسداد المعوي لحديثي الولادة [partition musicale imprimée] / OUIDAD BARMOUSSI, Technicien graphique . - 2016 . - 112 Pages ; A4.
ISSN : 153/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : CARTILAGE DE CROISSANCE FRACTURES D'ENFANT ÉPIPHYSIODÉSE. Résumé : Les traumatismes du cartilage de croissance constituent une entité anatomo-clinique spécifique à l’enfant et à l’adolescent en croissance. L’objectif de notre étude est d’analyser l’aspect épidémiologique, clinique, thérapeutique et évolutif du traumatisme du cartilage de croissance.
Notre étude est rétrospective concernant une série de 37 patients présentant un traumatisme du cartilage de croissance, réalisée au service de chirurgie pédiatrique de l’hôpital EL HASSANI de Nador, sur une période de deux ans entre janvier 2014 et janvier 2016.
Les TCC représentent 3,75% de l’ensemble des fractures de l’enfant hospitalisés, 29 patients étaient des garçons (78,37%), avec un âge moyen de 10,38 ans.
Les chutes représentent 59,5% des causes des TCC, les accidents de voie publique 18,9%, un cas d’enfant battu 2,7% et les autres causes : 8,1%. Le côté gauche était atteint dans 51,35% des cas. Le mécanisme était indirect dans 81% des cas.
A l’admission, tous nos patients ont présenté une douleur importante avec une impotence fonctionnelle absolue chez 33 patients (89,18%) et partielle chez 4 (10,81%). Deux fractures étaient ouvertes, une de type I de CAUCHOIX et DUPARC et l’autre de type II.
Tous nos patients ont bénéficiés d’une radiographie standard Face et Profil, aucun autre examen n’a été fait (pas de TDM ni IRM).
Le radius distal était la localisation préférentielle (75,67%), suivi du Fémur distal 10,81%, Tibia distal 8,1%, et phalanges 2,7%. Selon la classification de Salter et Harris le type II était le plus fréquent 62,16%, suivi du type I 27,02%, type III 8,1% et le type IV 2,7%. La fracture isolée été retrouvée dans 62,16% des cas.
Le traitement a été orthopédique chez 31 patients (83,87%) et chirurgical chez 6 patients (16,21%).
4 complications ont été retrouvés: deux cas d’infections postopératoires (5,4%), une fracture ouverte de type II de COUCHOIX et DUPARC s’est compliqué d’une nécrose cutanée (2,7%) et un cas de légère raideur du poignet (2,7%). Aucun cas d’épiphysiodèse n’a été retrouvé.
La survenue de complications serait en relation avec: le type de fracture, l’importance du déplacement initial, ainsi que la qualité du traitement initial. Le pronostic dépend de la sévérité de la fracture, l’âge du patient, le type de décollement, la localisation, la nature ouverte du décollement, la qualité et modalité de réduction ainsi que le délai de la prise en charge thérapeutique.
Cependant le caractère imprévisible des fractures décollements épiphysaires imposent une surveillance à long terme, jusqu’à la fin de la croissance, pour une évaluation meilleure et crédible.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 153/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 153/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible L'EPIPHYSIOLYSE FÉMORALE SUPÉRIEURE CHEZ L'ENFANT -À PROPOS DE 07 CAS - / NAJLAE ZAARI
Titre : L'EPIPHYSIOLYSE FÉMORALE SUPÉRIEURE CHEZ L'ENFANT -À PROPOS DE 07 CAS - Titre original : إنفصال مشاشة عظم الفخد Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : NAJLAE ZAARI, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 145 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 089/15 Mots-clés : L'ÉPIPHYSIOLYSE FÉMORALE SUPÉRIEURE CARTILAGE DE CROISSANCE GLISSEMENT- FIXATION IN SITU INTERVENTION DE DUNN. Résumé : L’épiphysiolyse fémorale supérieure est le glissement aigu ou progressif non traumatique de l’épiphyse fémorale supérieure sur la métaphyse, à travers le cartilage de conjugaison cervico céphalique.
Dans notre travail on a revu une série de 7 patients traités pour épiphysiolyse fémorale supérieure colligés au service de chirurgie infantile du CHU Mohammed VI de Oujda pendant une durée de 2 ans.
L’âge des patients a varié entre 16 et 6 ans avec une moyenne de 12 ans et 6mois. Pour les garçons entre 12 et 16 ans avec une moyenne de 13 ans et 7 mois, pour la fille l’âge était de 6 ans.
Une prédominance masculine est notée avec 6 garçons (85.72%) et 1 fille (14,28%).
La notion de traumatisme minime révélateur et d’obésité ont été fréquemment notées avec un taux respectivement 42.27 % et 85.70 %.
Le côté droit a été atteint chez 57,14% des cas.
Le mode évolutif était 2 fois chronique (28,89%), 4 fois aiguë (57,14%) et une fois aiguë sur fond chronique (14,4%).
Tous nos patients ont bénéficiés d’un bilan radiologique comportant des radiographies standards de la hanche intéressée de face et de profil et une radiographie du bassin de face qui ont permis de classer l’EFS en stade I chez 3 des cas et stade II chez 3 cas et un stade III chez un seul patient.
L’échographie a été réalisée 3 fois à la recherche d’épanchement intra articulaire, signe d’instabilité du glissement, et qui est revenue négative .
Pour les 7 patients le traitement est la fixation in situ par vis dont deux parmis eux ont été tractés avant la fixation pendant 2 semaines.
Nos résultats ont été évalués après un recul variant entre 01 et 24 mois avec une moyenne de 6 mois. L’analyse de ces résultats a été jugée bonne pour tous nos malades opérés sauf un qui a eu une effraction intra articulaire et un deuxième qui a fait glisser le coté controlatérale déjà fixé.
Finalement, l’EFS est l’une des causes principale d’une boiterie douloureuse dont la précocité du diagnostic et la conduite thérapeutique influencent grossièrement le pronostic de la pathologie.L'EPIPHYSIOLYSE FÉMORALE SUPÉRIEURE CHEZ L'ENFANT -À PROPOS DE 07 CAS - = إنفصال مشاشة عظم الفخد [partition musicale imprimée] / NAJLAE ZAARI, Auteur . - 2015 . - 145 Pages ; A4.
ISSN : 089/15
Mots-clés : L'ÉPIPHYSIOLYSE FÉMORALE SUPÉRIEURE CARTILAGE DE CROISSANCE GLISSEMENT- FIXATION IN SITU INTERVENTION DE DUNN. Résumé : L’épiphysiolyse fémorale supérieure est le glissement aigu ou progressif non traumatique de l’épiphyse fémorale supérieure sur la métaphyse, à travers le cartilage de conjugaison cervico céphalique.
Dans notre travail on a revu une série de 7 patients traités pour épiphysiolyse fémorale supérieure colligés au service de chirurgie infantile du CHU Mohammed VI de Oujda pendant une durée de 2 ans.
L’âge des patients a varié entre 16 et 6 ans avec une moyenne de 12 ans et 6mois. Pour les garçons entre 12 et 16 ans avec une moyenne de 13 ans et 7 mois, pour la fille l’âge était de 6 ans.
Une prédominance masculine est notée avec 6 garçons (85.72%) et 1 fille (14,28%).
La notion de traumatisme minime révélateur et d’obésité ont été fréquemment notées avec un taux respectivement 42.27 % et 85.70 %.
Le côté droit a été atteint chez 57,14% des cas.
Le mode évolutif était 2 fois chronique (28,89%), 4 fois aiguë (57,14%) et une fois aiguë sur fond chronique (14,4%).
Tous nos patients ont bénéficiés d’un bilan radiologique comportant des radiographies standards de la hanche intéressée de face et de profil et une radiographie du bassin de face qui ont permis de classer l’EFS en stade I chez 3 des cas et stade II chez 3 cas et un stade III chez un seul patient.
L’échographie a été réalisée 3 fois à la recherche d’épanchement intra articulaire, signe d’instabilité du glissement, et qui est revenue négative .
Pour les 7 patients le traitement est la fixation in situ par vis dont deux parmis eux ont été tractés avant la fixation pendant 2 semaines.
Nos résultats ont été évalués après un recul variant entre 01 et 24 mois avec une moyenne de 6 mois. L’analyse de ces résultats a été jugée bonne pour tous nos malades opérés sauf un qui a eu une effraction intra articulaire et un deuxième qui a fait glisser le coté controlatérale déjà fixé.
Finalement, l’EFS est l’une des causes principale d’une boiterie douloureuse dont la précocité du diagnostic et la conduite thérapeutique influencent grossièrement le pronostic de la pathologie.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 089/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 089/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible