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TRAITEMENT DE L’HYPERACTIVITÉ VÉSICALE CHEZ L’ADULTE (REVUE DE LITTÉRATURE) / HRIZOU HANTAR
Titre : TRAITEMENT DE L’HYPERACTIVITÉ VÉSICALE CHEZ L’ADULTE (REVUE DE LITTÉRATURE) Titre original : (علاج فرط نشاط المثانة لدى البالغين (مراجعةالادبيات Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : HRIZOU HANTAR, Technicien graphique Année de publication : 2016 Importance : 171 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 260/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : URGENTURIE HYPERACTIVITÉ VÉSICALE HYPERACTIVITÉ DÉTRUSORIENNE ANTICHOLINERGIQUES NEUROMODULATION TIBIALE POSTÉRIEURE NEUROMODULATION DES RACINES SACRÉES TOXINE BOTULIQUE Résumé : L’hyperactivitévésicale (ou overactive bladder), est caractérisée par une urgenturie avec ou sans incontinence urinaire associée à une pollakiurie diurne > 8 épisodes et une nycturie > 1 épisode. Elle touche 27 % des hommes et 43 % des femmes agées de plus 40 ans. Cette prévalence augmente avec l’age (4,8 % chez la femme de moins de 25 ans et 30,9 % chez la femme de plus de 65 ans).
La physiopathologie du SHV est complexe et multifactorielle, plusieurs mécanismes à point de départ vésical impliquant les microcontractions du détrusor, et des modifications structurelles du détrusor, ou des modifications de l’urothélium ou de sa libération des médiateurs sont avancés. Le rôle de l’intégration centrale des afférences vésicales est également évoqué. L’hypothèse d’un éventuel dysfonctionnement dans le control neuro-végétatif de l’appareil vésicosphinctérien a été avancée.
Les anticholinergiques constituent la pierre angulaire dans le traitement de l’HAV. Malheureusement, ils sont associés à un nombre élevé d’effets secondaires et un taux élevé d’abandon du traitement. Les recherches actuelles tentent de réduire les effets secondaires avec des formes à libération prolongée, changement des voies d’administration ou l’usage de nouveaux agents avec une meilleure sélectivité et spécificité.
Le recour aux autres modalités thérapeutiques peu etre envisagé en cas d’echec dans les cas refractairesou contres indications autraitment médicale, dont les principaux sont : la remodulation des racines sacrées et et la chirurgie d’agrandissment vésicale ou la dénervation vésicale.
De nouvelles classes pharmaceutiques (bêta-3 mimétiques, IPDE5) et traitements adjuvants (estrogénothérapie vaginale et desmopressine) et de nouvelles voies d’administrations, endovésicale (oxybutinine, substance vanilloides), ou intradétrusorienne (toxine botulique) seront proposées en cas de troubles rebelles et de mauvaise tolérance au traitement habituel per os, ils sont en cours d’évaluationTRAITEMENT DE L’HYPERACTIVITÉ VÉSICALE CHEZ L’ADULTE (REVUE DE LITTÉRATURE) = (علاج فرط نشاط المثانة لدى البالغين (مراجعةالادبيات [partition musicale imprimée] / HRIZOU HANTAR, Technicien graphique . - 2016 . - 171 Pages ; A4.
ISSN : 260/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : URGENTURIE HYPERACTIVITÉ VÉSICALE HYPERACTIVITÉ DÉTRUSORIENNE ANTICHOLINERGIQUES NEUROMODULATION TIBIALE POSTÉRIEURE NEUROMODULATION DES RACINES SACRÉES TOXINE BOTULIQUE Résumé : L’hyperactivitévésicale (ou overactive bladder), est caractérisée par une urgenturie avec ou sans incontinence urinaire associée à une pollakiurie diurne > 8 épisodes et une nycturie > 1 épisode. Elle touche 27 % des hommes et 43 % des femmes agées de plus 40 ans. Cette prévalence augmente avec l’age (4,8 % chez la femme de moins de 25 ans et 30,9 % chez la femme de plus de 65 ans).
La physiopathologie du SHV est complexe et multifactorielle, plusieurs mécanismes à point de départ vésical impliquant les microcontractions du détrusor, et des modifications structurelles du détrusor, ou des modifications de l’urothélium ou de sa libération des médiateurs sont avancés. Le rôle de l’intégration centrale des afférences vésicales est également évoqué. L’hypothèse d’un éventuel dysfonctionnement dans le control neuro-végétatif de l’appareil vésicosphinctérien a été avancée.
Les anticholinergiques constituent la pierre angulaire dans le traitement de l’HAV. Malheureusement, ils sont associés à un nombre élevé d’effets secondaires et un taux élevé d’abandon du traitement. Les recherches actuelles tentent de réduire les effets secondaires avec des formes à libération prolongée, changement des voies d’administration ou l’usage de nouveaux agents avec une meilleure sélectivité et spécificité.
Le recour aux autres modalités thérapeutiques peu etre envisagé en cas d’echec dans les cas refractairesou contres indications autraitment médicale, dont les principaux sont : la remodulation des racines sacrées et et la chirurgie d’agrandissment vésicale ou la dénervation vésicale.
De nouvelles classes pharmaceutiques (bêta-3 mimétiques, IPDE5) et traitements adjuvants (estrogénothérapie vaginale et desmopressine) et de nouvelles voies d’administrations, endovésicale (oxybutinine, substance vanilloides), ou intradétrusorienne (toxine botulique) seront proposées en cas de troubles rebelles et de mauvaise tolérance au traitement habituel per os, ils sont en cours d’évaluationExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 260/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 260/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible