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LE PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DES INFECTIONS URINAIRES EN URO-NEPHROLOGIE. / YOSRA MALKI
Titre : LE PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DES INFECTIONS URINAIRES EN URO-NEPHROLOGIE. Titre original : المظاهر الوبائية لتعفن المسالك البولية بمصلحة أمراض المسالك البولية وأمراض الكلي Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : YOSRA MALKI, Auteur Année de publication : 2015 Importance : 87 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 023/15 Mots-clés : INFECTION URINAIRE ÉPIDÉMIOLOGIE GERMES UROPATHOGÈNES ANTIBIORÉSISTANCE Résumé : Introduction : L’infection urinaire constitue une préoccupation en pratique courante, par sa fréquence, sa morbidité et par l’émergence et la propagation de souches de bactéries multirésistantes.
Matériels et Méthode : C’est une étude descriptive rétrospective qui porte sur tous les ECBU positifs provenant des malades dans les services d’urologie et de néphrologie de l’hôpital El Farabi d’Oujda sur une période de 20 mois s’étendant du 1er Janvier 2013 au 31 Aout 2014, et dont l’objectif est d’apprécier le profil épidemiologique de l’infection urinaire, les germes uropathogène, ainsi que l’antibiorésistance des principales bactéries isolées.
Résultats : Sur 994 ECBU testés, 339 étaient positifs (34,1%). Le sexe masculin est prédominant, l’âge moyen est de 58 ans. Les germes isolés étaient les entérobactéries (82,6%) représentés essentiellement par Escherichia coli (55,5%), suivie de Klebsiella spp (21,5%), Proteus mirabilis (3,2%) et Enterobacter spp (2,7%). Pour les cocci à Gram positif, l’étude a révélé le staphylocoque spp dans 5,7%, suivi des treptocoque dans 4,7% et d’entérocoque spp dans 2,7% des isolats. Concernant les bacilles à Gram négatif non fermentants on a isolé le Pseudomonas aeruginosa (3,5%) suivi de Acinetobacter (1,2%).
Discussion : dans notre série d’étude les entérobactères occupaient le premier rang des germes isolés, E. coli vient en tête suivie de klebsiella spp, La fréquence de la résistance globale des principaux isolats vis-à-vis des pénicillines, des céphalosporines de première génération, du cotrimoxazole et des quinolones est élevée. Cependant les céphalosporines de deuxième et troisième génération, les aminosides, la colistine, les nitrofuranes conservent encore un bon profil d’activité.
Conclusion : la prévention reste le moyen le plus efficace pour éviter les conséquences pronostiques et économiques lourdes de l’infection urinaire, en respectant les mesures d’hygiène et en évitant la mauvaise utilisation des antibiotiques.LE PROFIL EPIDEMIOLOGIQUE DES INFECTIONS URINAIRES EN URO-NEPHROLOGIE. = المظاهر الوبائية لتعفن المسالك البولية بمصلحة أمراض المسالك البولية وأمراض الكلي [partition musicale imprimée] / YOSRA MALKI, Auteur . - 2015 . - 87 Pages ; A4.
ISSN : 023/15
Mots-clés : INFECTION URINAIRE ÉPIDÉMIOLOGIE GERMES UROPATHOGÈNES ANTIBIORÉSISTANCE Résumé : Introduction : L’infection urinaire constitue une préoccupation en pratique courante, par sa fréquence, sa morbidité et par l’émergence et la propagation de souches de bactéries multirésistantes.
Matériels et Méthode : C’est une étude descriptive rétrospective qui porte sur tous les ECBU positifs provenant des malades dans les services d’urologie et de néphrologie de l’hôpital El Farabi d’Oujda sur une période de 20 mois s’étendant du 1er Janvier 2013 au 31 Aout 2014, et dont l’objectif est d’apprécier le profil épidemiologique de l’infection urinaire, les germes uropathogène, ainsi que l’antibiorésistance des principales bactéries isolées.
Résultats : Sur 994 ECBU testés, 339 étaient positifs (34,1%). Le sexe masculin est prédominant, l’âge moyen est de 58 ans. Les germes isolés étaient les entérobactéries (82,6%) représentés essentiellement par Escherichia coli (55,5%), suivie de Klebsiella spp (21,5%), Proteus mirabilis (3,2%) et Enterobacter spp (2,7%). Pour les cocci à Gram positif, l’étude a révélé le staphylocoque spp dans 5,7%, suivi des treptocoque dans 4,7% et d’entérocoque spp dans 2,7% des isolats. Concernant les bacilles à Gram négatif non fermentants on a isolé le Pseudomonas aeruginosa (3,5%) suivi de Acinetobacter (1,2%).
Discussion : dans notre série d’étude les entérobactères occupaient le premier rang des germes isolés, E. coli vient en tête suivie de klebsiella spp, La fréquence de la résistance globale des principaux isolats vis-à-vis des pénicillines, des céphalosporines de première génération, du cotrimoxazole et des quinolones est élevée. Cependant les céphalosporines de deuxième et troisième génération, les aminosides, la colistine, les nitrofuranes conservent encore un bon profil d’activité.
Conclusion : la prévention reste le moyen le plus efficace pour éviter les conséquences pronostiques et économiques lourdes de l’infection urinaire, en respectant les mesures d’hygiène et en évitant la mauvaise utilisation des antibiotiques.Exemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 023/15 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible 023/15-1 TH Livre Thèses Thèses_2015 Disponible