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LYMPHOME MALIN NON HODGKINIEN EXPERIENCE DU SERVICE DE MEDECINE INTERNE CHU MOHAMMED VI OUJDA / AYOUB ABDELLAH
Titre : LYMPHOME MALIN NON HODGKINIEN EXPERIENCE DU SERVICE DE MEDECINE INTERNE CHU MOHAMMED VI OUJDA Titre original : الأورام اللمفاوية الغيرهودجكينية تجربة قسم الطب الباطني المستشفى الجامعي محمد السادس وجدة Type de document : partition musicale imprimée Auteurs : AYOUB ABDELLAH, Auteur Année de publication : 2016 Importance : 101 Pages Format : A4 ISBN/ISSN/EAN : 174/16 Langues : Français (fre) Mots-clés : LMNH ADÉNOPATHIE IMMUNOHISTOCHIMIE ANN ARBOR RITUXIMAB Résumé : Les LMNH sont les hémopathies malignes les plus fréquentes dans le monde. Ils sont inscris parmi les enjeux majeurs de santé publique au Maroc faisant l’objet de rémission fréquente depuis l’avènement des thérapies ciblées. Notre objectif est de mettre en évidence les caractéristiques épidémiologiques, thérapeutiques et évolutives de LMNH au CHU Mohamed VI Oujda.
Il s’agit d’une étude descriptive, étalée sur une période de 2 ans entre Septembre 2014 et Août 2016 au service de Médecine Interne du CHU Mohamed VI d’Oujda.
L’âge moyen des patients est de 58,8ans (18-90ans) avec un pic d’âge entre 71 et 80 ans. Les LMNH atteignent l’homme plus que la femme avec un sexe ratio de 1,33. L’adénopathie est le signe révélateur dans 51,4% des avec siège cervical dans 22,9% des cas suivie par l’atteinte digestive. Le diagnostic des LMNH est anatomopathologique établi sur biopsie ganglionnaire dans 51,4% des cas dans notre série et pour 48,6% des cas sur biopsie extra-ganglionnaire. Pour les 35 cas colligés au service, 18 patients présentant un LMNH agressif (soit 54,6%) dont le chef de fil est le lymphome B diffus à grandes cellules chez 16 patients (soit 48,5%) ; alors que 14 patients (soit 45,4%) présentent un lymphome indolent: 4 cas (soit 12,1%) ont un lymphome de la zone marginale splénique, 3 cas (soit 9,1%) ont un lymphome de la zone marginale ganglionnaire, 3 cas (soit 9.1%) ont un lymphome folliculaire et 1 cas (soit 3%) a un lymphome de la zone marginale extra-ganglionnaire MALT. La classification Ann Arbor utilisée après bilan d’extension a montré la prédominance des formes étendues ; Stade IV (57,1%). Le traitement par chimiothérapie protocole RCHOP reste le plus utilisé (65,7%) ; suivi du CHOP (14,3%). 12 patients (soit 34,3%) sont en cours du traitement ; 42,9% des patients présentent une bonne réponse dont 28,6% sont en rémission complète ; 14,3% sont en rémission partielle. 20% des patients sont décédés et une patiente a refusé le traitement.
Les nouveaux moyens diagnostiques tels que l’immunohistochimie permettent de dépister de plus en plus de LMNH, même si leur histoire n’oriente pas vers le diagnostic. Les anticorps monoclonaux, en particulier le Rituximab, ont permis une amélioration de la réponse et même de la probabilité de survie globaleLYMPHOME MALIN NON HODGKINIEN EXPERIENCE DU SERVICE DE MEDECINE INTERNE CHU MOHAMMED VI OUJDA = الأورام اللمفاوية الغيرهودجكينية تجربة قسم الطب الباطني المستشفى الجامعي محمد السادس وجدة [partition musicale imprimée] / AYOUB ABDELLAH, Auteur . - 2016 . - 101 Pages ; A4.
ISSN : 174/16
Langues : Français (fre)
Mots-clés : LMNH ADÉNOPATHIE IMMUNOHISTOCHIMIE ANN ARBOR RITUXIMAB Résumé : Les LMNH sont les hémopathies malignes les plus fréquentes dans le monde. Ils sont inscris parmi les enjeux majeurs de santé publique au Maroc faisant l’objet de rémission fréquente depuis l’avènement des thérapies ciblées. Notre objectif est de mettre en évidence les caractéristiques épidémiologiques, thérapeutiques et évolutives de LMNH au CHU Mohamed VI Oujda.
Il s’agit d’une étude descriptive, étalée sur une période de 2 ans entre Septembre 2014 et Août 2016 au service de Médecine Interne du CHU Mohamed VI d’Oujda.
L’âge moyen des patients est de 58,8ans (18-90ans) avec un pic d’âge entre 71 et 80 ans. Les LMNH atteignent l’homme plus que la femme avec un sexe ratio de 1,33. L’adénopathie est le signe révélateur dans 51,4% des avec siège cervical dans 22,9% des cas suivie par l’atteinte digestive. Le diagnostic des LMNH est anatomopathologique établi sur biopsie ganglionnaire dans 51,4% des cas dans notre série et pour 48,6% des cas sur biopsie extra-ganglionnaire. Pour les 35 cas colligés au service, 18 patients présentant un LMNH agressif (soit 54,6%) dont le chef de fil est le lymphome B diffus à grandes cellules chez 16 patients (soit 48,5%) ; alors que 14 patients (soit 45,4%) présentent un lymphome indolent: 4 cas (soit 12,1%) ont un lymphome de la zone marginale splénique, 3 cas (soit 9,1%) ont un lymphome de la zone marginale ganglionnaire, 3 cas (soit 9.1%) ont un lymphome folliculaire et 1 cas (soit 3%) a un lymphome de la zone marginale extra-ganglionnaire MALT. La classification Ann Arbor utilisée après bilan d’extension a montré la prédominance des formes étendues ; Stade IV (57,1%). Le traitement par chimiothérapie protocole RCHOP reste le plus utilisé (65,7%) ; suivi du CHOP (14,3%). 12 patients (soit 34,3%) sont en cours du traitement ; 42,9% des patients présentent une bonne réponse dont 28,6% sont en rémission complète ; 14,3% sont en rémission partielle. 20% des patients sont décédés et une patiente a refusé le traitement.
Les nouveaux moyens diagnostiques tels que l’immunohistochimie permettent de dépister de plus en plus de LMNH, même si leur histoire n’oriente pas vers le diagnostic. Les anticorps monoclonaux, en particulier le Rituximab, ont permis une amélioration de la réponse et même de la probabilité de survie globaleExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 174/16-1 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible 174/16 TH Livre Thèses Thèses_2016 Disponible